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2024-01-07 10:02:35 +01:00
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@@ -0,0 +1,50 @@
{{ informatique:technologie:3d:3d-printer-64x64.jpg|}}
====== 3D et impression 3D ======
===== Bibliothèque d'objets 3D =====
On peut télécharger des objets 3D
> [[http://thingiverse.com|Digital Designs for Physical Objects]]
{{ informatique:technologie:3d:site_thingiverse.png?600 |}}
===== Logiciel freecad =====
Le logiciel **freecad** est disponible dans les dépôts linux dont celui de Fedora :
dnf install freecad
On peut retrouver des tutos pour faire des objets
> https://www.freecadweb.org/wiki/Basic_Part_Design_Tutorial/fr
===== Préparation pour l'imprimante =====
Le logiciel gratuit **Ultimaker CURA** permet de transformer et enregistrer les conception 3D de FreeCAD .stl (STL Mash) en fichier Gcode sur la carte SD de l'imprimante.
> https://ultimaker.com/software/ultimaker-cura
Le logiciel est également disponible dans le dépôt Fedora
sudo dnf install cura
On indique le modèle lors du démarrage de l'application.
{{ informatique:technologie:3d:cura_select_printer_creality_ender3.png?600 |}}
====== Faire des circuits imprimés ======
Réalisation de cartes PCB
> https://pcbway.com
====== Les composants ======
Inserts en vrac
> https://amzn.to/2AIMQQT
{{ informatique:technologie:3d:female_thread_nut.png?600 |}}
Kits de vis
> https://amzn.to/2IqEOA8
{{ informatique:technologie:3d:kit_nuts.png?600 |}}

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@@ -0,0 +1,45 @@
====== Acquisition VHS ======
{{tag>"Techniques de numérisation vidéo"}}
L'acquisition VHS est le processus de conversion de la vidéo enregistrée sur des cassettes VHS (Videocassette Home System) en un format numérique. Cela implique généralement de connecter un lecteur de VHS à un ordinateur ou un appareil de numérisation et d'enregistrer la vidéo numérique sur le disque dur ou sur un autre support de stockage numérique. Le but de l'acquisition VHS est de préserver la vidéo sur des supports plus durables et de les rendre plus accessibles pour la lecture et l'édition sur des appareils modernes. C'est une étape importante pour la préservation de l'histoire visuelle et sonore et pour l'archivage de vidéos personnelles et professionnelles.
L'objectif est de numériser une source analogique (RCA). Ici il s'agit d'une cassette vidéo PAL/SECAM lu avec un magnétoscope. Le format numérique doit être un format standard, exploité par toutes les applications. Par exemple en AVI, H264 ou H265 et une piste audio en OGG, OPUS, WAV, MP3 ou MPA.
===== Autonome =====
Le [[https://amzn.to/2CaA12g|iRecord]] permet de numériser vers un carte microSD (testé jusqu'à 128 Go) au format AVI (~ 1,5 Go pour 1h30). Le format de numérisation est VGA (640 x 480 pixels).
Lors des essais, le son se décale dans le temps par rapport à l'image. Il y a une désynchronisation du son/image non linéaire. C'est-à-dire qu'au début de la numérisation le son et l'image sont bien synchronisées puis au fur et à mesure que l'on avance dans lacquisition, le décalage se faire sentir. Cela devient flagrant au bout d'une de numérisation.
Il est dommage que la résolution se limite au VGA (640 x 480 pixels) car le PAL ou le SECAM ont une résolution de 768 x 576 pixels (576p).
Il est notable que cet appareil intègre un écran de contrôle. Il permet également une sortie HDMI, pour une sortie vers écran compatible HDMI.
Concernant lalimentation, elle s'effectue en mini USB 5 V et est secourue par une batterie interne.
Caractéristiques notables
^ Objet | Acquisition vidéo RCA vers microSD |
^ Résolution | VGA 640x480 | |
^ Numérisation | vers carte microSD | |
^ Format de numérisation | AVI | |
Ce problème de décalage de son est rédhibitoire. Je ne garde pas ce matériel.
===== Sur PC =====
Je change de méthode et essaie de numériser avec l'ordinateur. Le [[https://amzn.to/2NBtbZ3|HD Video Capture]] permet de router un signal HDMI vers une prise USB. C'est un boîtier dacquisition HDMI, brancher en USB 3.0
D'après ce que j'ai compris, le périphérique serait reconnu de manière standard comme une source vidéo d'entrée. Donc, compatible avec les derniers OS du marché : Windows 7, 8, 8.1, 10, Linux et OS X 10.9, dixit la fiche de description.
Caractéristiques notables
^ Objet | Acquisition vidéo HDMI vers USB |
^ Résolution | 1080p 1920x1080 | |
^ Numérisation | vers prise USB 3.0 | |
Néanmoins, il me faut également un adaptateur RCA (rouge, blanc, jaune) vers HDMI afin de convertir le signal en sortie du magnétoscope vers le numériseur. J'ai opté pour le [[https://amzn.to/2JG7Ah1|Techole AV to HDMI]]. Cet adaptateur prend en charge, en autre, les normes PAL et SECAM. La conversion vidéo en HDMI est effectuée avec une mise à l'échelle jusqu'à 1080p / 720p. Un bouton sur un côté permet de choisir la résolution. L'alimentation s'effectue en mini USB 5 V.
Caractéristiques notables
^ Objet | Convertisseur RCA vers HDMI |
^ Résolution | 1080p 1920x1080 | |

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@@ -0,0 +1,22 @@
====== Formats audio ======
Un format audio est une spécification technique pour la représentation numérique des données audio. Il s'agit d'un ensemble de règles qui déterminent comment les données audio sont stockées, compressées, codées et décodées. Les formats audio peuvent prendre en charge différents types de données audio, tels que les échantillons audio, les métadonnées, les informations de synchronisation, etc.
Il existe de nombreux formats audio différents, chacun ayant ses propres avantages et inconvénients en termes de qualité sonore, de taille de fichier, de compatibilité, etc. Parmi les formats audio les plus courants, on peut citer :
* WAV (Waveform Audio File Format)
* MP3 (MPEG Audio Layer-3)
* AAC (Advanced Audio Coding)
* WMA (Windows Media Audio)
* OGG Vorbis
* FLAC (Free Lossless Audio Codec)
* Opus
===== Les pages =====
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@@ -0,0 +1,13 @@
====== Format AAC ======
**AAC** (Advanced Audio Coding) est un format de compression audio numérique avec perte, conçu pour offrir une qualité sonore élevée avec une taille de fichier réduite par rapport aux formats audio non compressés. Le format **AAC** est similaire au format MP3, mais utilise des algorithmes de compression plus efficaces pour obtenir une qualité sonore équivalente à des débits binaires plus faibles.
Le format **AAC** a été développé par l'Institut Fraunhofer, la même organisation qui a développé le format MP3. Il est devenu populaire dans les années 2000 en raison de sa qualité sonore élevée et de sa capacité à réduire la taille des fichiers audio.
Le format **AAC** prend en charge des débits binaires variables allant de 8 kbit/s à 320 kbit/s, ce qui permet d'optimiser la qualité et la taille du fichier en fonction des besoins. Le format est capable de gérer des taux d'échantillonnage allant jusqu'à 96 kHz, ce qui en fait un choix populaire pour la production musicale professionnelle.
Le format **AAC** est utilisé pour la distribution de fichiers audio, tels que des chansons, des albums, des bandes sonores de films, des podcasts, etc. Il est pris en charge par de nombreux lecteurs multimédias et logiciels de traitement audio, et est compatible avec de nombreux systèmes d'exploitation, notamment Windows, macOS et Linux. **AAC** est également utilisé dans certains systèmes de diffusion en continu, tels que Apple Music et Spotify.
En résumé, le format **AAC** est un format de compression audio numérique populaire et largement utilisé, qui offre une qualité sonore élevée avec une taille de fichier réduite. Il est utilisé pour la distribution de fichiers audio de haute qualité, ainsi que pour la production musicale professionnelle.
Le AAC est utilisé par plusieurs formats de fichiers audios courants, notamment : MP4, M4A, 3GP, ADTS, MPEG-2

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@@ -0,0 +1,4 @@
====== Format ALAC ======
{{ :dummy.png?75x75|}}
Le format de fichier **ALAC** est un format de compression audio propriétaire sans perte développé par Apple Inc. **ALAC** est conçu pour permettre la compression de fichiers audio numériques sans perte de qualité sonore, et est similaire à d'autres codecs de compression audio sans perte tels que **FLAC** et WAV. **ALAC** peut être lu sur des appareils Apple, ainsi que sur des ordinateurs Mac et des lecteurs multimédias tiers, et est compatible avec les systèmes d'exploitation Windows, Linux et macOS.

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@@ -0,0 +1,12 @@
====== Format FLAC ======
Le format de fichier audio **FLAC** (Free Lossless Audio Codec) est un format de compression audio sans perte. Cela signifie que le **FLAC** compresse les données audio sans sacrifier la qualité sonore originale, contrairement aux formats de compression audio avec perte tels que le MP3 et l'AAC. Le **FLAC** est souvent utilisé pour stocker de la musique de haute qualité sans prendre trop de place sur un disque dur ou un lecteur de musique portable.
Le format **FLAC** prend en charge des débits binaires allant de 4 à 32 bits par échantillon et des taux d'échantillonnage allant jusqu'à 655,350 Hz. Le format est capable de compresser les fichiers audio à environ 50 à 70 % de leur taille d'origine sans perte de qualité.
Le **FLAC** est pris en charge par de nombreux lecteurs de musique et logiciels de traitement audio, ainsi que par les systèmes d'exploitation Windows, macOS et Linux. Le format est également pris en charge par de nombreux lecteurs multimédias portables, tels que les iPod et les lecteurs de musique de marque Sony.
Le **FLAC** est souvent utilisé pour la production musicale professionnelle, la distribution de fichiers audio de haute qualité sur Internet et pour l'archivage de collections de musique numérique. En raison de sa capacité à compresser des fichiers audio sans perte de qualité, le format **FLAC** est souvent préféré par les audiophiles et les amateurs de musique pour sa haute qualité sonore.
Le format audio OGG Vorbis est utilisé par plusieurs formats de fichiers audios courants, notamment : flac, mkv, mp4, ogg, wav

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@@ -0,0 +1,13 @@
====== Format MP3 ======
Le format **MP3** (MPEG-1 Audio Layer 3) est un format de compression audio numérique avec perte, conçu pour offrir une qualité sonore élevée avec une taille de fichier réduite par rapport aux formats audio non compressés. Le format MP3 utilise une technique de compression de données appelée "psychoacoustique", qui permet de réduire la quantité de données audio sans perdre de qualité sonore perceptible par l'oreille humaine.
Le format MP3 a été développé par le Moving Picture Experts Group (MPEG), un groupe de travail de l'Organisation internationale de normalisation (ISO), dans les années 1980 et 1990. Le format est devenu populaire au début des années 2000 en raison de sa capacité à compresser des fichiers audio de grande taille en des fichiers beaucoup plus petits tout en maintenant une qualité sonore élevée.
Le format **MP3** prend en charge des débits binaires variables allant de 8 kbit/s à 320 kbit/s, ce qui permet d'optimiser la qualité et la taille du fichier en fonction des besoins. Le format est capable de gérer des taux d'échantillonnage allant jusqu'à 48 kHz.
Le format **MP3** est utilisé pour la distribution de fichiers audio, tels que des chansons, des albums, des bandes sonores de films, des podcasts, etc. Il est pris en charge par de nombreux lecteurs multimédias et logiciels de traitement audio, et est compatible avec de nombreux systèmes d'exploitation, notamment Windows, macOS et Linux.
Cependant, le format **MP3** est considéré comme obsolète par certains experts en audio, en raison de ses limitations en termes de qualité sonore et de taille de fichier par rapport à des formats plus récents tels que AAC, Ogg Vorbis ou Opus.
Le format audio MP3 est utilisé par plusieurs formats de fichiers audios courants, notamment : MP3, M3U, MP4, AVI, WAV

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@@ -0,0 +1,67 @@
====== Format OGG Vorbis ======
**OGG Vorbis** est un format de compression audio numérique libre et ouvert, conçu pour offrir une qualité sonore élevée avec une taille de fichier plus petite que d'autres formats de compression audio avec perte. Le format **OGG Vorbis** utilise une technique de compression de données appelée "Vorbis", qui a été développée par l'organisation Xiph.Org.
Le format **OGG Vorbis** est similaire à d'autres formats de compression audio avec perte, tels que MP3 ou AAC, mais il utilise un algorithme de compression différent pour obtenir une qualité sonore équivalente avec une taille de fichier plus petite. Le format **OGG Vorbis** utilise une compression de données de type "psychoacoustique", qui prend en compte les limites de la perception auditive humaine pour éliminer les parties du signal audio qui ne peuvent pas être entendues par l'auditeur.
Le format **OGG Vorbis** prend en charge des débits binaires variables allant de 16 kbit/s à 320 kbit/s, ce qui permet d'optimiser la qualité et la taille du fichier en fonction des besoins. Le format est également capable de gérer des taux d'échantillonnage élevés jusqu'à 192 kHz.
^ Bitrate ^ Réglage pour oggenc ^ Usage
| 48 | -1 | Très mauvais, à utiliser uniquement sur du contenu vocal |
| 64 | 0 | Très mauvais, à utiliser uniquement sur du contenu vocal |
| 80 | 1 | Très mauvais, à utiliser uniquement sur du contenu vocal |
| 96 | 2 | Très mauvais, à utiliser uniquement sur du contenu vocal |
| 112 | 3 | |
| 128 | 4 | Mauvais, pertes très audibles dans les aigus, débit courant en mp3 |
| 160 | 5 | |
| 192 | 6 | Un peu moins mauvais, pertes sensibles |
| 224 | 7 | |
| 256 | 8 | Qualité basique, commence à ne plus s'entendre |
| 320 | 9 | Meilleur rapport volume/qualité, pertes très peu (voire pas) sensibles |
| jusqu'à 500 | 10 | déconseillé, utiliser plutôt une compression sans perte |
Le format **OGG Vorbis** est utilisé pour la diffusion en continu de musique sur Internet, ainsi que pour la distribution de fichiers audio de haute qualité. Il est pris en charge par de nombreux lecteurs multimédias et logiciels de traitement audio, et est utilisé dans certains systèmes d'exploitation, tels que Linux et Android, comme format audio par défaut. **OGG Vorbis** est également utilisé dans le format de conteneur multimédia open source Ogg, qui peut contenir des fichiers audio et vidéo encodés dans différents codecs.
Le format audio OGG Vorbis est utilisé par plusieurs formats de fichiers audios courants, notamment : ogg, oga, flac
===== Convertir avec ffmpeg =====
Qualité __youtube__ 192k - qualité 6
<code>
for f in *.* ; do ffmpeg -i "$f" -vn -c:a:0 libvorbis -qscale:a 6 "${f%.*}_192k.ogg"; done
</code>
Qualité __podcast__ 128k - qualité 4
<code>
for f in *.* ; do ffmpeg -i "$f" -vn -c:a:0 libvorbis -qscale:a 4 "${f%.*}_128k.ogg"; done
</code>
Qualité __archive__ 320k - qualité 9
<code>
for f in *.* ; do ffmpeg -i "$f" -vn -c:a:0 libvorbis -qscale:a 9 "${f%.*}_320k.ogg"; done
</code>
===== Convertir avec oggenc =====
Le programme **oggenc** encode les fichier WAV, AIFF, ou Ogg Vorbis en format audio Ogg Vorbis.
Qualité __podcast__ 128k - qualité 4
<code>
for f in *.* ; oggenc -q4 "$f" ; done
</code>
Qualité __youtube__ 192k - qualité 6
<code>
for f in *.* ; oggenc -q6 "$f" ; done
</code>
Qualité __archive__ 320k - qualité 9
<code>
for f in *.* ; oggenc -q9 "$f" ; done
</code>
===== Quelques programmes intéressants =====
vorbisgain
normalize-ogg

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@@ -0,0 +1,14 @@
====== Format WMA ======
{{ :dummy.png?75x75|}}
**WMA** (Windows Media Audio) est un format de compression audio numérique avec perte, conçu pour offrir une qualité sonore élevée avec une taille de fichier réduite par rapport aux formats audio non compressés. Le format **WMA** a été développé par Microsoft et est souvent utilisé dans les systèmes d'exploitation Windows.
Le format **WMA** prend en charge des débits binaires variables allant de 5 kbit/s à 320 kbit/s, ce qui permet d'optimiser la qualité et la taille du fichier en fonction des besoins. Le format est capable de gérer des taux d'échantillonnage allant jusqu'à 48 kHz.
Le format **WMA** est utilisé pour la distribution de fichiers audio, tels que des chansons, des albums, des bandes sonores de films, des podcasts, etc. Il est pris en charge par de nombreux lecteurs multimédias et logiciels de traitement audio, et est compatible avec de nombreux systèmes d'exploitation, notamment Windows, macOS et Linux.
Cependant, le format **WMA** est considéré comme moins populaire que certains autres formats de compression audio avec perte, tels que MP3 ou AAC, en raison de ses limitations en termes de qualité sonore et de compatibilité avec d'autres plateformes et systèmes d'exploitation. Cela étant dit, le format **WMA** est toujours largement utilisé dans l'écosystème Windows et peut être une option viable pour les utilisateurs qui cherchent à compresser des fichiers audio avec perte.
Le WMPA est utilisé par plusieurs formats de fichiers audios courants, notamment : WMA, ASF, WMV

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@@ -0,0 +1,82 @@
====== Format Opus ======
{{ :dummy.png?75x75|}}
**Opus** est un codec audio numérique libre et ouvert, conçu pour fournir une qualité sonore élevée avec une faible latence de codage et de décodage. **Opus** est un format de compression audio à débit binaire variable, qui permet d'optimiser la qualité et la taille des fichiers en fonction des besoins.
Le codec **Opus** a été développé par l'Internet Engineering Task Force (IETF), un organisme qui travaille sur la standardisation des protocoles Internet. Il a été créé à partir de deux codecs existants, le SILK de Skype et le CELT (Constrained Energy Lapped Transform), et vise à combiner les avantages de ces deux codecs pour offrir une qualité sonore élevée et une compatibilité universelle.
**Opus** prend en charge une large gamme de débits binaires, allant de 6 kbit/s à 510 kbit/s, ce qui permet d'optimiser la qualité sonore et la taille des fichiers pour différents types d'applications. Il prend également en charge la stéréo et la mono, ainsi que les taux d'échantillonnage allant jusqu'à 48 kHz.
Le format **Opus** est conçu pour être polyvalent et universel, et peut être utilisé pour une variété d'applications, telles que la diffusion en continu, les jeux en ligne, la communication vocale sur Internet, les appels vidéo, la diffusion de musique en direct et les podcasts. Le format est pris en charge par de nombreux lecteurs multimédias et logiciels de traitement audio, et est devenu une norme de facto pour la communication vocale en temps réel sur Internet.
Voici quelques indications de débits pour le format OPUS :
__Audiobooks / Podcasts__\\
1 voix => 24 Kb/s\\
2 voix => 32 kb/s
__Musique en streaming ou radio__\\
64 - 96 kb/s
__Musique en local__\\
96 - 128 kb/s c'est un coef de 4\\
5.1 - 128 - 256 kb/s\\
7.1 - 256 - 450 kb/s\\
===== Convertir avec ffmpeg et opusenc =====
L'encodeur pour obtenir des fichiers OPUS s'appelle **opusenc**. Le fichier d'entrée doit être au format Wave, AIFF, FLAC, Ogg/FLAC, ou raw PCM.
Les scripts shell suivant utilisent les programmes [[informatique:linux:applications:ffmpeg|ffmpeg]] et [[informatique:linux:applications:opus-tools#opusenc|opusenc]] pour convertir des fichiers audio dans deux formats différents avec une certaine qualité et stocker les fichiers résultants dans le même répertoire que les fichiers sources.
__Qualité archive 32k - podcast audio__
Conversion en PCM S32LE avec **FFmepg** puis en format Opus avec **opusenc** avec un débit binaire de 32 kbit/s :
<code>
for f in *.* ; do ffmpeg -f pcm_s32le "$f" "${f%.*}_pcm_s32le.wav"; do opusenc --bitrate 32 "$f" "${f%.*}_32k.opus"; done
</code>
__Qualité archive 64k - stream music__
Conversion en format PCM non compressé avec **FFmepg** puis en format Opus avec **opusenc** avec un débit binaire de 64 kbit/s :
<code>
for f in *.* ; do ffmpeg -i "$f" "${f%.*}_pcm.wav" ; opusenc --bitrate 64 "${f%.*}_pcm.wav" "${f%.*}_64k.opus"; rm "${f%.*}_pcm.wav"; done
</code>
__Qualité archive 96k - radio__
Conversion en format PCM non compressé avec **FFmepg** puis en format Opus avec **opusenc** avec un débit binaire de 96 kbit/s :
<code>
for f in *.* ; do ffmpeg -i "$f" "${f%.*}_pcm.wav" ; opusenc --bitrate 96 "${f%.*}_pcm.wav" "${f%.*}_96k.opus"; rm "${f%.*}_pcm.wav"; done
</code>
__Qualité archive 128k - archive__
Conversion en format PCM non compressé avec **FFmepg** puis en format Opus avec **opusenc** avec un débit binaire de 128 kbit/s :
<code>
for f in *.* ; do ffmpeg -i "$f" "${f%.*}_pcm.wav" ; opusenc --bitrate 128 "${f%.*}_pcm.wav" "${f%.*}_128k.opus"; rm "${f%.*}_pcm.wav"; done
</code>
__Qualité archive 128k - archive, pour des fichiers WAV__
Conversion en format Opus avec **opusenc** avec un débit binaire de 128 kbit/s :
<code>
for f in *.* ; do opusenc --bitrate 128 "$f" "${f%.*}_128k.opus"; done
</code>
Avec ce script il faut s'assurer que le format du fichier en entrée soit accepté par **opusenc**.
__Qualité archive 152k - utilisé par Youtube__
Conversion en format PCM non compressé avec **FFmepg** puis en format Opus avec **opusenc** avec un débit binaire de 152 kbit/s :
<code>
for f in *.* ; do ffmpeg -i "$f" "${f%.*}_pcm.wav" ; opusenc --bitrate 152 "${f%.*}_pcm.wav" "${f%.*}_152k.opus"; rm "${f%.*}_pcm.wav"; done
</code>

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@@ -0,0 +1,51 @@
====== Google ======
{{tag>"script linux"}}
{{ :dummy.png?75x75|Nom de la section}}
Google a été fondé en septembre 1998 par **Larry Page** et **Sergey Brin** alors qu'ils étaient des étudiants diplômés à l'**Université de Stanford**. Le **moteur de recherche de Google** était encore en phase de développement à cette époque, et il était peu probable qu'il ait été très connu en dehors de la communauté universitaire de Stanford.
{{ :informatique:technologie:pasted:20230303-225930.png }}
===== Android =====
Android est un système d'exploitation open source pour les appareils mobiles qui a été développé par la société **Android Inc.** en 2003. En 2005, **Android Inc.** a été acquise par Google, qui a ensuite continué à développer et à distribuer Android en tant que système d'exploitation open source pour les smartphones, les tablettes et d'autres appareils mobiles.
Bien que le **code source d'Android soit disponible en tant que logiciel libre**, **Google utilise** également **une version personnalisée et privée du système d'exploitation** pour ses propres appareils Android, comme les téléphones Pixel. **Cette version personnalisée inclut des fonctionnalités exclusives de Google**, telles que les applications Google Play Store, Google Maps, Gmail, etc., ainsi que des fonctionnalités de confidentialité et de sécurité supplémentaires.
Par conséquent, bien que Android soit un système d'exploitation open source, il est également vrai que **Google a privatisé une partie de l'expérience utilisateur** avec sa propre version personnalisée d'Android. Cela **permet à Google de mieux contrôler** la manière dont **les utilisateurs** interagissent avec leurs services et de fournir des fonctionnalités uniques qui ne sont pas disponibles dans la version open source d'Android.
Par exemple, les applications Google Play Store, Google Maps, Gmail et d'autres services Google sont souvent très populaires et largement utilisés, et peuvent offrir des fonctionnalités pratiques pour les utilisateurs d'Android.
Cependant, certains pourraient arguer que la personnalisation de Google d'Android peut également avoir des inconvénients pour les utilisateurs. En privatisant une partie de l'expérience utilisateur, Google peut potentiellement limiter la liberté des utilisateurs de personnaliser et de contrôler leur propre appareil, ce qui peut être considéré comme un inconvénient pour les utilisateurs qui préfèrent avoir un contrôle total sur leur appareil.
De plus, certaines fonctionnalités propriétaires de Google sur Android peuvent également soulever des préoccupations en matière de confidentialité et de sécurité. Par exemple, certaines personnes pourraient être préoccupées par la quantité de données collectées par Google à travers leurs services, ainsi que par les mesures de confidentialité et de sécurité mises en place pour protéger ces données.
Il est possible de désactiver certains des services Google sur un téléphone Android, mais il est important de noter que cela peut limiter les fonctionnalités de l'appareil et peut également affecter les performances de certaines applications. Voici quelques étapes à suivre pour désactiver certains services Google sur un téléphone Android :
* Désactiver les applications Google : Pour désactiver les applications Google, vous pouvez aller dans les paramètres de votre téléphone, sélectionner "Applications", puis trouver les applications Google que vous souhaitez désactiver, comme Gmail ou Google Maps. Appuyez sur l'application et sélectionnez "Désactiver". Notez que certaines applications Google ne peuvent pas être désactivées.
* Désactiver les services Google Play : Vous pouvez également désactiver les services Google Play en allant dans les paramètres de votre téléphone, puis en sélectionnant "Applications". Trouvez les services Google Play, appuyez dessus et sélectionnez "Désactiver". Cela peut affecter la façon dont certaines applications fonctionnent, il est donc important de faire preuve de prudence lors de la désactivation des services Google Play.
* Utiliser une alternative open source : Si vous souhaitez éviter complètement les services Google, vous pouvez envisager d'utiliser une alternative open source pour les services de messagerie, de navigation, de stockage en nuage, etc. Par exemple, vous pouvez utiliser des applications comme Signal, Firefox ou Nextcloud pour remplacer les services de Google.
Notez que la désactivation de certains services Google peut affecter le fonctionnement de certaines applications, et il est possible que certaines applications ne fonctionnent pas correctement sans les services Google. Il est également important de noter que la désactivation des services Google peut ne pas garantir une confidentialité complète, car il est possible que d'autres applications ou services utilisent toujours des données de Google.
En fin de compte, la désactivation des services Google sur un téléphone Android peut être un processus compliqué et peut avoir des conséquences inattendues. Il est donc important de faire des recherches et d'être conscient des avantages et des inconvénients avant de désactiver les services Google.
Il est possible d'utiliser l'application **NetGuard** pour bloquer les communications vers Google et d'autres services en ligne. **NetGuard** est une application de pare-feu qui permet aux utilisateurs de contrôler l'accès à Internet pour les applications installées sur leur appareil Android. Il peut être utilisé pour bloquer les communications vers des serveurs spécifiques, y compris ceux de Google.
Voici comment utiliser **NetGuard** pour bloquer les communications vers Google :
* 1 - Installez l'application NetGuard à partir du Google Play Store.
* 2 - Lancez l'application et appuyez sur l'icône d'engrenage en haut de l'écran pour accéder aux paramètres.
* 3 - Activez "Contrôle du trafic" dans les paramètres de l'application.
* 4 - Accédez à l'onglet "Applications" dans l'application NetGuard, puis trouvez les applications Google que vous souhaitez bloquer. Par exemple, vous pouvez sélectionner "Google Play Store" ou "Google Chrome".
* 5 - Appuyez sur l'application Google que vous souhaitez bloquer, puis désactivez l'option "Wi-Fi" et/ou "Données mobiles" pour cette application.
* 6 - Répétez les étapes 4 et 5 pour chaque application Google que vous souhaitez bloquer.
Notez que la désactivation de l'accès à Internet pour les applications Google peut affecter la façon dont ces applications fonctionnent et peut limiter les fonctionnalités de l'appareil. Il est donc important de faire preuve de prudence lors de la désactivation des communications vers Google et de s'assurer que toutes les applications continuent à fonctionner correctement.

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@@ -0,0 +1,29 @@
====== Technologie & Culture ======
===== Table des matières =====
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==== Les pages ====
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</WRAP>
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==== Les sous-catégories ====
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</nav>
</WRAP>
</WRAP>
~~NOTOC~~
~~NOCACHE~~

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@@ -0,0 +1,54 @@
====== Configuration du Linksys IP Phone SPA942 pour OVH ======
Pour accéder au menu de configuration, branchez le téléphone sur votre réseau et allez dans le menu : **Configuration** / **Réseau** pour obtenir l'IP locale attribuée au téléphone (//ex : 192.168.XXX.XXX//)
Dans un navigateur internet, entrez cette IP dans la barre d'adresse. Vous devriez accéder à l'interface de configuration de votre téléphone Linksys. Dans celle ci, cliquez sur le lien **Admin login** situé en haut à droite, puis cliquez sur **advanced** afin d'accéder au paramètres qui nous intéressent.
Voici les différents paramètres utilisables pour les lignes VOIP de chez OVH :
Dans l'onglet **System**, section **Optional Network Configuration** :\\
* Primary NTP Server : fr.pool.ntp.org (il s'agit là d'un exemple de serveur NTP qui permet la mise à l'heure automatique du terminal)
* Secondary NTP Server : fr.pool.ntp.org
Dans l'onglet **SIP**, section **NAT Support Parameters** :
* STUN enable : no
* STUN Test Enable : no
Dans l'onglet **SIP**, section **RTP Parameters** :
* RTP Port Min : 30000
* RTP Port Max : 40000
Dans l'onglet **Regional**, section **Miscellaneous** :
* Time Zone : GMT+01:00 (il s'agit du fuseau horaire, ici celui pour la France)
* Daylight Saving Time Rule : start=3/24/7/02:0:0;end=10/24/7/02:0:0;save=1 . Cette règle permettra au téléphone de passer à l'heure d'été du dernier dimanche de mars au dernier dimanche d'octobre.
Dans l'onglet "Phone", section **General** :
* Station Name: Le nom de station qui sera affiché sur le téléphone
* Voice Mail Number: le numéro de messagerie est 123 par défaut
Dans l'onglet "Ext 1", section **Call Feature Settings** :
* Voice Mail Server : mwi.voip.ovh.net
Dans la section **Proxy and Registration** :
* Proxy : sip.ovh.fr (depuis octobre 2012, l'adresse du proxy est sip.ovh.fr et non plus sip.ovh.net)
Use Outbound Proxy : YES
* Outbound Proxy : 91.121.129.20:5962
* Register Expires : 3600
Dans la section **Subscriber Information** :
* Display Name : Nom de la ligne (apparait lors de vos communications entre lignes OVH)
* User ID : l'userId fournit dans le mail reçu par OVH (en général le numéro de la ligne (00339XXX...))
* Password : Le mot de passe fournit avec la ligne (ou un autre si vous l'avez modifié)
* Use Auth ID : mettre à YES
* Auth ID : identique à User ID normalement (c'est à dire en général le numéro de la ligne (00339XXX...))
Dans la section **Audio Configuration** :
* Preferred Codec : G711u
* Second Preferred Codec : G711a
* Third Preferred Codec : G729a
Dans l'onglet **Dial Plan** :
* Dial Plan : <code>(0[1-9]xxxxxxxx|3xxx|116xxx|10xx|16xx|15|17|18|112|115|11 9|7xx|123|**1|#33*xxxx#|*33#)</code>
* Emergency Number : 112
Dans l'onglet **User** :
* Date Format : day/month
* Time Format : 24hr

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@@ -0,0 +1,5 @@
{{ informatique:technologie:ipphone:ip-phone-64x64.png|}}
====== IP Phone ======
<nspages -actualTitle -h1 -subns -hideNoSubns -hideNoPages -exclude:start -usePictures -textPages="" >

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@@ -0,0 +1,13 @@
====== Lien hypertexte ======
{{ :dummy.png?75x75|}}
Un lien hypertexte est un élément dans un document électronique qui permet de lier cette page à une autre page ou à un autre document. Il s'agit généralement d'un texte ou d'une image cliquable qui redirige l'utilisateur vers une autre page ou une autre partie de la même page. Les liens hypertextes sont utilisés pour naviguer facilement entre différentes pages d'un site web, pour fournir des références à des sources externes, ou pour créer des liens entre différentes sections d'un document électronique. Les liens hypertextes sont une caractéristique fondamentale du World Wide Web et ils permettent de naviguer facilement et rapidement sur Internet.
Il existe des anciens programmes qui prennent en charge les liens hypertextes, même antérieurs à l'apparition du World Wide Web.
Par exemple, en 1987, **Ted Nelson** a publié une version de son système de gestion de documents hypertexte **Xanadu** pour **MS-DOS**. Cette version a permis de naviguer dans des documents interconnectés à travers des liens hypertextes, bien que les documents aient été stockés localement sur le disque dur de l'utilisateur plutôt que sur Internet.
En 1990, **Peter J. Brown** a développé un navigateur hypertexte pour DOS appelé **HyperAccess**, qui a permis de naviguer sur des documents interconnectés stockés sur un serveur distant. **HyperAccess** a utilisé un protocole appelé **Hyper-G** pour transférer des documents hypertexte sur un réseau.
Ces programmes étaient très limités par rapport aux navigateurs modernes et ont été largement remplacés par des programmes plus sophistiqués à mesure que le World Wide Web devenait de plus en plus populaire. Cependant, ils ont été importants dans le développement de la technologie hypertexte et ont aidé à jeter les bases de ce qui est devenu le World Wide Web.

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@@ -0,0 +1,32 @@
====== Full Circle Magazine ======
{{ fullcirclemagfr_146.png?300|}}
**PDF du magazine disponibles** gratuitement sur le site.
Le site du magazine\\
https://www.fullcirclemag.fr/
===== Base des articles =====
^ Num ^ Page | Titre |
| 146 | 4 | Actus |
| 146 | 16 | Command & Conquer : présentations avec hugo-reveal et reveal.js |
| 146 | 18 | Tutoriel : Python dans le monde réel |
| 146 | 23 | Tutoriel : Freeplan |
| 146 | 26 | Tutoriel : Darktable |
| 146 | 28 | Tutoriel : Inskcape |
| 146 | 34 | Ubuntu au quotidien : obtenir de l'aide |
| 146 | 36 | |
| 146 | 37 | |
| 146 | 38 | Mon histoire : installer Ubuntu |
| 146 | 40 | Critique littéraire : Math Adventures With Python |
| 146 | 41 | Critique : Lubuntu 19.04 |
| 146 | 45 | Courriers : Liens Python |
| 146 | 47 | Question & Réponses |
| 146 | 50 | Certifié Linux - Partie 3 |
| 146 | 51 | Jeux Ubuntu : Auto-Chess, partie 1 : Epic vs Valve |
===== Liste des couvertures =====
{{gallery>informatique:medias:magazine?fullcircle*&lightbox}}

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@@ -0,0 +1,198 @@
====== Hackable Magazine ======
{{ hackable-magazine-27.jpg?300&noLink|Hackable 27}}
Démontez / Comprenez / Adaptez / Partagez
Hackable met lélectronique plus que jamais à la portée de tous !
Ce bimestriel na quun but : faire de la technologie un vrai plaisir ! Le plaisir de démonter, dapprendre, de comprendre, de faire, de maîtriser et dadapter à ses besoins. En dautres termes, **cest un magazine pour utiliser la technologie, pas la consommer**.
Au programme : montages à base Arduino, programmation, bidouillages autour de la Raspberry Pi, découverte de nouvelles cartes et de nouveaux modules, démontage et exploration de matériels, conseils, recommandations et astuces pour séquiper, mais aussi de quoi apprendre les bases pour sen sortir seul et pour aller toujours plus loin !
**PDF du magazine disponibles** par abonnement ou au numéro.
| Hackable | 27 | 4 | Pilotez des écrans e-paper à trois couleurs ! |
| Hackable | 27 | 26 | Une jauge analogique MQTT pour afficher vos mesures et valeurs |
| Hackable | 27 | 36 | Réseau mesh : étendre facilement son réseau sans fil pour ses montages |
| Hackable | 27 | 56 | Contrôlez vos NeoPixels en 3,3 volts |
| Hackable | 27 | 64 | Ordinateur 8 bits Z80 : on prend les mêmes et on recommence |
| Hackable | 27 | 72 | Robotique et électrons : mesurer une consommation avec le Rpi |
| Hackable | 27 | 80 | Étude dun traqueur solaire |
Les sources et fichiers de configuration pour le magazine Hackable\\
https://github.com/Hackable-magazine
Le site du magazine\\
http://www.hackable.fr
===== Base des articles =====
Ci-dessous un récapitulatif des sommaires du magazine **hackable**.
^ Num ^ Page | Titre |
| 1 | 8 | Choisir et acheter sa station de soudage sans se tromper |
| 1 | 14 | Transformez votre Arduino en programmeur de microcontrôleurs |
| 1 | 22 | Arduino Starter Kit |
| 1 | 26 | Arduino : un projet, une révolution et une gamme de cartes |
| 1 | 36 | Découvrir et apprendre le langage Arduino |
| 1 | 46 | Comprendre et utilisez la loi dohm |
| 1 | 56 | Votre Pi toujours à lheure grâce à une horloge temps réel DS1338 |
| 1 | 68 | Ardu-sonnette : a-t-on sonné en votre absence ? |
| 1 | 88 | Démontons, explorons et étudions une e-cigarette |
| 1 | 96 | Comprendre la PWM |
| 2 | 6 | Retour sur la 1re édition de la Maker Faire Paris |
| 2 | 10 | Bien choisir son multimètre : une question de sécurité |
| 2 | 22 | Faites tweeter votre boîte aux lettres lorsque vous avez du courrier |
| 2 | 36 | Émission radio |
| 2 | 44 | Installation et utilisation de RTLSDR sous Linux |
| 2 | 52 | Utilisation dune radion logicielle |
| 2 | 59 | Bonus : Améliorer la réception cest réduire le bruit |
| 2 | 60 | ADS-B ou comment écouter les avions tout autour de vous |
| 2 | 68 | La radiomessagerie : captez les messages dun autre temps |
| 2 | 78 | Emportez votre serveur Minecraft partout avec vous ! |
| 2 | 88 | Quel système de notification pour mon projet connecté ? |
| 2 | 94 | Transformez votre Arduino en baromètre pour prévoir la météo : BMP180 |
| 3 | 4 | LArietta G25, un ordinateur grand comme le pouce ! |
| 3 | 18 | Programmez une carte STM32 Nucleo sans rien installer avec mbed |
| 3 | 28 | Créez votre horloge binaire avec un module DS1037 et le charlieplexing |
| 3 | 40 | Contrôlez votre Ardunio avec la télécommande de votre TV |
| 3 | 72 | Ajoutez un peu du monde de la Pi dans Windows grâce à Cygwin |
| 3 | 82 | Donnez à votre Raspberry Pi un écran LCD couleurs pour 5 euros |
| 3 | 94 | Parce que tout le monde naime pas les souris lumineuses blanches |
| 4 | 4 | Mauvaise question : Arduino ou Raspberry Pi ? |
| 4 | 14 | Alimentation stabilisée de laboratoire : pourquoi, comment et combien ? |
| 4 | 22 | Les Arduino aussi ont droit à leurs afficheurs LCD couleurs à 5 euros |
| 4 | 28 | Découvrez les nouvelles cartes Raspberry Pi A+ et B+ |
| 4 | 60 | Testez la fiabilité et vérifiez létat de santé de vos piles rechargeables |
| 4 | 78 | Ordinosaure : ressuscitons une machine mythique : NeXTstation Turbo |
| 4 | 90 | Rendez accessible votre machine Windows par la Raspberry Pi grâce à SSH |
| 5 | 4 | Lanalyseur logique, ou comment espionner tous les bus de données |
| 5 | 18 | Tiva Connected LaunchPad + Energia = Super Arduino |
| 5 | 28 | Comment piloter 64 leds ou plus avec 4 fils : le registre à décalage |
| 5 | 36 | TLC5926 : afficher et faire évoluer votre |
| 5 | 46 | Créez votre bibliothèque Arduino pour notre afficheur |
| 5 | 58 | Communiquez avec presque tout grâce aux adaptateurs USB/série |
| 5 | 74 | Utilisez votre Raspberry Pi sans écran grâce au port console |
| 5 | 84 | Échangez des fichiers avec votre Pi sans réseau grâce à Zmodem |
| 5 | 86 | Extraire et réutiliser lécran LCD graphique dun matériel au rebut |
| 6 | 8 | WS2812 : la led intelligente |
| 6 | 20 | Sur le pouce : ajoutez un codeur rotatif |
| 6 | 22 | Télécommandez vos montages Arduino |
| 6 | 36 | Arduino 1.6 : utiliser l'EEPROM interne n'a jamais été aussi simple ! |
| 6 | 40 | Des feux de circulation avec alarme |
| 6 | 54 | Une Raspberry Pi pour protéger votre vie privée : la Pi en point d'accès Wifi |
| 6 | 64 | Une Raspberry Pi pour protéger votre vie privée : TOR |
| 6 | 76 | SDR : qui peut entrer dans mon garage ? |
| 6 | 88 | SDR et télécommande : qui peut entrer dans mon garage en pratique ? |
| 7 | 4 | MakerFaire Paris 2015 : plus grande, plus ouverte, plus familiale ! |
| 7 | 8 | Utilisez différentes cartes avec Arduino 1.6.5 |
| 7 | 14 | Dois-je acheter une Raspberry Pi 2 ? |
| 7 | 22 | Créez un détecteur d'impact de foudre |
| 7 | 38 | Un « Arduino » avec Wifi pour moins de 10 euros ? |
| 7 | 50 | Calibrez votre récepteur RTL SDR |
| 7 | 62 | Essai de Windows sur Intel Galileo |
| 7 | 70 | Stockez vos données en ligne avec Raspberry Pi et Seafile |
| 7 | 76 | S'y retrouver dans les répertoires de sa Raspberry Pi |
| 7 | 86 | 4 solutions pour faire clignoter une led |
| 7 | 92 | Contrôler un appareil domestique : 230 Volts ! |
| 8 | 4 | LaunchPad MSP432 : en route pour le multitâche ! |
| 8 | 14 | Construisez votre programmeur Arduino, sans utiliser d'Arduino |
| 8 | 24 | Arduino presque sans Arduino, ou comment programmer sans les roulettes |
| 8 | 34 | Assemblez un réseau de capteurs de température sans vous ruiner |
| 8 | 48 | Réseau de capteurs de température : le côté Pi |
| 8 | 60 | Contrôler sa chaudière à distance avec un Raspberry Pi |
| 8 | 68 | Supervisez votre consommation électrique sur Raspberry Pi |
| 8 | 76 | Charger une voiture électrique avec du matériel libre |
| 8 | 84 | Exploitez un petit écran tactile pour Raspberry Pi avec Pygame |
| 8 | 95 | Une ligne de commandes dans un navigateur pour votre Pi 2 |
| 9 | 4 | Un écran OLED miniature pour vos projets |
| 9 | 20 | Créez un simulateur de TV |
| 9 | 30 | Améliorez votre simulateur de TV |
| 9 | 40 | Créer une notification originale : faire bouillir un liquide à 35°C |
| 9 | 46 | Contrôlez un élément chauffant et surveillez le fonctionnement avec Processing |
| 9 | 56 | Contrôle thermique : découvrez la régulation PID |
| 9 | 62 | Écran LCD tactile 7 pouces : l'officiel ou solution HDMI ? |
| 9 | 76 | Configurez deux écrans LCD miniatures sur Raspberry Pi |
| 9 | 88 | RTL power ou comment surveiller les ondes avec votre Raspberry Pi |
| 10 | 4 | Ajoutez la géolocalisation à vos projets Arduino en utilisant un récepteur GPS |
| 10 | 14 | Communication par lumière visible sur Ardunio |
| 10 | 16 | Faites dialoguer deux Arduino avec une simple paire de leds |
| 10 | 24 | Créez une horloge électro-vintage originale à cadrans analogiques à aiguille |
| 10 | 32 | NFC & RFID en pratique ! Sur Arduino et Raspberry Pi |
| 10 | 44 | Quelles applications Android utiliser pour explorer RFID et NFC |
| 10 | 50 | Configurer proprement le support NFC sur Raspberry Pi |
| 10 | 58 | Samuser avec les tags RFID/NFC sur une Raspberry Pi |
| 10 | 66 | Lisez vos tags NFC avec Arduino |
| 10 | 77 | Panneau solaire et autonomie en toute simplicité avec le LiPo Rider Pro |
| 10 | 86 | Prenez en charge proprement les interruptions en évitant les bugs |
| 10 | 92 | Apprenez à compiler et installer un nouveau noyau pour votre Raspberry Pi |
| 11 | 4 | Faites fonctionner votre Raspberry Pi Zero comme un périphérique USB 2.0 |
| 11 | 18 | Créez un afficheur numérique multifonction géant avec des bandes à LEDS |
| 11 | 32 | Découvrez comment utiliser de simples leds comme détecteurs de lumière |
| 11 | 38 | Construisez votre serrure « sécurisée » à base de porte-clés RFID 125 kHz |
| 11 | 50 | Pilotez laération de votre habitat ! Ventilation contrôlée |
| 11 | 70 | Maitrisez linstallation et la désinstallation dapplications dans Raspbian |
| 11 | 82 | Transformez votre Rapberry Pi en serveur dimpression 3D avec OctoPrint |
| 12 | 4 | Imprimez facilement textes, code-à-barres et images sur une mini imprimante thermique avec une carte Arduino |
| 12 | 16 | Générez, produisez et imprimez des QR codes avec une carte Arduino Uno |
| 12 | 28 | Créez votre borne dArcade miniature à base de Raspberry Pi |
| 12 | 52 | Analysez les signaux dune télécommande 433 MHz et reproduisez son fonctionnement |
| 12 | 70 | Comprenez le fonctionnement et lutilisation des indispensables MOFSET |
| 12 | 84 | Utilisez judicieusement les constantes et macros dans vos croquis Arduino. CONST ou #define |
| 12 | 88 | Mettez à jour votre système sans connexion Internet grâce à une simple clé USB |
| 13 | 4 | Retour en images sur le troisième Maker Fair Paris |
| 13 | 10 | Découvrez la nouvelle Raspberry Pi 3 : plus puissante, plus connectée, même prix ! |
| 13 | 18 | Connectez Arduino et Rapberry Pi avec le module de communication radio 433MHz APC220 |
| 13 | 32 | Découvrez et utilisez la caméra Raspberry Pi : module caméra V2 |
| 13 | 64 | Utilisez une mini imprimante thermique avec votre Raspberry Pi grâce à Python |
| 13 | 74 | Créez une barre à leds multicolore animée à partir dune réglette lumineuse à leds |
| 13 | 86 | Apprenez à déchiffrer et comprendre une documentation technique ou datasheet |
| 14 | 14 | Prise ne main et test du CHIP, le nano-ordinateur concurrent de la Pi … ou pas |
| 14 | 26 | Apprenez à piloter un module à papier électronique pour afficher textes et images |
| 14 | 38 | Créez un moniteur de température et dhydrométrie |
| 14 | 50 | Pilotez votre appareil photo avec votre Raspberry Pi ! |
| 14 | 62 | Manipulez et traiter automatiquement vos photos sur Raspberry Pi |
| 14 | 78 | Prenez des clichés automatiquement en cas de détection de mouvement |
| 14 | 86 | Faites de votre Pi un point daccès Wifi bridge et personnalisez son nom |
| 14 | 94 | Apprenez à alimenter correctement et en toute sécurité vos projets à base dArduino |
| 15 | 4 | Contrôlez votre alimentation de laboratoire avec votre Raspberry Pi |
| 15 | 18 | Créez un enregistreur autonome de température, d'humidité et de pression |
| 15 | 32 | Créez une lanterne qui réagit au toucher |
| 15 | 44 | Connectez votre Arduino en Bluetooth : configuration du module |
| 15 | 56 | Bluetooth : pilotez votre Arduino avec votre smartphone |
| 15 | 66 | Connectez un module LCD à votre Raspberry Pi pour afficher son adresse réseau |
| 15 | 74 | Partagez vos projets et vos créations sur GitHub |
| 15 | 90 | Vos projets Arduino et Raspberry Pi sur une batterie externe pour smartphone. Pas si simple… |
| 16 | 4 | Utilisez une carte SD avec votre Arduino |
| 16 | 18 | nRF24L01 : créez une liaison radio longue distance entre cartes Arduino |
| 16 | 30 | Utilisez un nRF24L01 avec votre Raspberry Pi |
| 16 | 36 | Pour aller plus loin en radio logicielle : HackRF One |
| 16 | 50 | Faites peur à vos amis en lisant leur carte bancaire ! |
| 16 | 58 | Gravez le bois avec de l'électricité ! |
| 16 | 70 | Ne perdez plus la main sur votre Pi grâce à GNU Screen |
| 16 | 78 | Utilisez vos applications graphiques Raspberry Pi depuis Windows |
| 16 | 88 | Contrôlez vos montages Bluetooth depuis votre Pi |
| 17 | 4 | Utilisez un programmeur d'EPROM avec votre Raspberry Pi |
| 17 | 14 | Créez un effet « feu » avec une matrice de leds |
| 17 | 24 | Créez des boutons à copier/coller |
| 17 | 30 | Créez un contrôleur de volume pour votre ordinateur |
| 17 | 44 | Transformez un vieux matériel de 30 ans en clavier USB |
| 17 | 60 | Configurez un clavier Bluetooth pour votre Pi |
| 17 | 66 | Changez la configuration des leds de votre Raspberry Pi |
| 17 | 76 | Utilisez votre Arduino UNO comme périphérique USB |
| 17 | 88 | Les codes tournants ou comment ne pas envoyer le même message deux fois |
| 19 | 4 | Ajoutez un écran intelligent à vos projets Arduino |
| 19 | 18 | Découvrez LoRaWAN et créez votre passerelle / concentrateur |
| 19 | 34 | Créez vos montages Arduino communicants sur LoRaWAN |
| 19 | 50 | Construisez un émetteur 433 Mhz pour remplacer vos télécommandes |
| 19 | 64 | Obtenez n'importe quelle tension à partir des 5V USB |
| 19 | 70 | Obtenir les informations du firmware de votre Raspberry Pi |
| 19 | 76 | Analyser le bus Siemens BSB d'une pompe à chaleur Atlantic |
| 19 | 84 | Pilotez votre pompe à chaleur Atlantic en utilisant le bus Siemens BSB |
===== Liste des couvertures =====
{{gallery>?hackable*&lightbox}}

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@@ -0,0 +1,23 @@
====== Hackspace Magazine ======
{{ .:hackspace_29.png?300|}}
Le [[https://hackspace.raspberrypi.org/issues/29|numéro 29]] est sorti. Dans ce numéro vous retrouverez une revue des boîtiers pour Raspberry Pi, un dossier complet sur le travail du bois et un article concernant l'éclairage multi couleur simultanée.
HackSpace magazine est un magazine mensuel destiné aux personnes qui aiment faire des choses et à celles qui veulent apprendre. Prenez du ruban adhésif, allumez un microcontrôleur, préparez une imprimante 3D et piratez le monde qui vous entoure!
Make / Build / Hack / Create
**PDF du magazine disponibles** gratuitement sur le site.
Le site du magazine\\
https://hackspace.raspberrypi.org/
===== Base des articles =====
Article à compléter.
===== Liste des couvertures =====
{{gallery>?hackspace_*&lightbox}}

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@@ -0,0 +1,8 @@
====== 📚 Magazines informatique ======
<nspages . -h1 -hideNoSubns -subns -nbCol=1 -textNS=" " -textPages=" " -usePictures -exclude:cookie: -exclude:user: -exclude:playground: -exclude:[sidebar index start rightsidebar navbar topheader header help pageheader pagefooter legal-notices footer 404] -pagesInNs -sortByDate -reverse>
~~NOTOC~~
~~NOCACHE~~

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@@ -0,0 +1,19 @@
====== Différence entre les "marque-pages" et les "favoris" ======
La différence entre les "marque-pages" et les "favoris" est principalement terminologique et dépend du navigateur que vous utilisez. Historiquement, ces termes désignent la même fonctionnalité :
1. **Marque-pages (Bookmarks) :** Le terme "marque-pages" est souvent utilisé dans les navigateurs tels que Mozilla Firefox. Il fait référence à la fonctionnalité qui vous permet de sauvegarder des adresses web pour y accéder rapidement plus tard. Vous pouvez organiser ces marque-pages dans des dossiers, les classer selon différents critères, et parfois les synchroniser sur différents appareils.
2. **Favoris (Favorites) :** Le terme "favoris" est traditionnellement utilisé par Internet Explorer et d'autres navigateurs. Comme les marque-pages, il permet aux utilisateurs de sauvegarder des liens vers des sites web pour un accès facile à l'avenir. Les fonctionnalités sont très similaires, permettant également l'organisation, le classement, et la synchronisation.
En somme, que le terme soit "marque-pages" ou "favoris", la fonctionnalité reste fondamentalement la même : sauvegarder des liens web pour y accéder rapidement plus tard. La différence réside principalement dans le choix du terme par les différents développeurs de navigateurs. Aujourd'hui, beaucoup utilisent les termes de manière interchangeable.
--
Sous Mastodon, un réseau social décentralisé, les termes "favoris" et "marque-pages" ont des significations spécifiques et distinctes, qui diffèrent de leur usage dans les navigateurs web. Voici comment ils sont généralement utilisés :
1. **Favoris :** Lorsque vous "favorisez" un pouet (un post sur Mastodon), cela équivaut généralement à "aimer" un post sur d'autres plateformes sociales. Cela ne sauvegarde pas le pouet pour une consultation ultérieure mais indique plutôt que vous appréciez le contenu. Le créateur du pouet peut voir que vous avez favorisé leur message, et cela peut aussi influencer la visibilité du pouet dans certains flux.
2. **Marque-pages :** Les marque-pages sur Mastodon sont utilisés pour sauvegarder des pouets spécifiques afin que vous puissiez les consulter plus tard. Cette fonctionnalité est plus similaire à la notion traditionnelle de "marque-pages" ou "favoris" dans les navigateurs, où l'utilisateur sauvegarde quelque chose d'important ou d'intéressant pour un accès facile à l'avenir. Les pouets que vous marquez sont privés et ne sont visibles que par vous.
En résumé, sur Mastodon, "favoriser" un pouet est une façon de montrer publiquement votre appréciation, tandis que "marquer" un pouet est un moyen de le sauvegarder discrètement pour vous-même. Ces fonctionnalités sont conçues pour améliorer l'interaction sociale et l'organisation personnelle au sein de la plateforme.

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@@ -0,0 +1,91 @@
====== Navigateurs Internet ======
{{ :dummy.png?75x75|}}
Un navigateur Internet est un logiciel informatique conçu pour afficher des pages Web, des documents HTML et des fichiers multimédias sur Internet. Les navigateurs Internet utilisent le protocole HTTP (Hypertext Transfer Protocol) pour récupérer des informations à partir de serveurs Web et les afficher sur l'écran de l'utilisateur.
Le navigateur Internet agit comme un interprète entre le serveur Web qui héberge le contenu et l'utilisateur qui souhaite visualiser le contenu. Le navigateur reçoit le code HTML de la page Web depuis le serveur et interprète les instructions pour afficher la page dans l'interface utilisateur du navigateur. Il peut également interpréter d'autres langages comme CSS pour la présentation de la page, JavaScript pour des fonctionnalités dynamiques et des animations.
Les navigateurs Internet permettent également aux utilisateurs de naviguer sur des sites Web en utilisant des liens hypertexte et d'interagir avec les sites Web en remplissant des formulaires, en cliquant sur des boutons et en utilisant d'autres éléments interactifs.
Il existe plusieurs navigateurs Internet disponibles, dont certains sont développés par des entreprises telles que Google, Microsoft, Mozilla et Apple, tandis que d'autres sont open source et sont développés par des communautés de développeurs indépendants.
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{{ :informatique:technologie:pasted:20230314-234312.png?150|Tim Berners-Lee}}
Le premier navigateur Web est appelé **WorldWideWeb** et a été créé par **Tim Berners-Lee** en 1990. C'était un navigateur basique qui permettait de naviguer sur les pages Web qui ont été créées sur le tout nouveau World Wide Web, mais il était utilisé principalement par les scientifiques et les chercheurs.
<WRAP clear/>
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{{ :informatique:technologie:pasted:20230314-233429.png?150|Navigateur Mosaic}}
En 1993, le navigateur **Mosaic** a été développé par le National Center for Supercomputing Applications (NCSA) de l'Université de l'Illinois. Mosaic a été le premier navigateur à être disponible pour les utilisateurs grand public sur les systèmes d'exploitation Windows et Macintosh, et il a été largement utilisé pour accéder aux sites Web à l'époque.
<WRAP clear/>
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{{ :informatique:technologie:pasted:20230314-233518.png?150|Navigateur Netscape}}
**Netscape** est apparu un an plus tard, en 1994. Il a été lancé en 1994 par la société Netscape Communications Corporation.
Netscape a été l'un des premiers navigateurs à prendre en charge les images intégrées, les formulaires Web et les liens hypertexte, ce qui a facilité la navigation sur le Web pour les utilisateurs. Il a également été l'un des premiers navigateurs à intégrer un moteur de recherche dans l'interface utilisateur, ce qui a permis aux utilisateurs de trouver rapidement des informations sur le Web.
Au cours de ses premières années, Netscape était le navigateur Web le plus utilisé au monde, mais il a finalement été surpassé par Internet Explorer de Microsoft, qui a bénéficié de son intégration dans le système d'exploitation Windows. En 1998, Netscape a été acquis par AOL (America Online) et son développement a continué pendant plusieurs années sous différentes formes, mais il a finalement été abandonné en 2008.
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{{ :informatique:technologie:pasted:20230314-233645.png?150|Navigateur Mozilla Firebird}}
**Firefox** est un navigateur Web open source développé par la fondation Mozilla. Il a été lancé en 2004 sous le nom de Phoenix, puis a été renommé en Firebird, avant de prendre son nom actuel de Firefox.
Firefox est conçu pour être rapide, sécurisé et personnalisable. Il prend en charge les normes Web modernes telles que HTML5, CSS3 et JavaScript, et il est compatible avec les systèmes d'exploitation Windows, macOS, Linux et Android.
Firefox est également connu pour sa grande flexibilité et sa personnalisation grâce à sa bibliothèque d'extensions. Les utilisateurs peuvent ajouter des extensions pour ajouter des fonctionnalités supplémentaires telles que la sécurité, la gestion des onglets, la navigation privée, la capture d'écran, etc.
Firefox est également un défenseur de la vie privée et de la sécurité des utilisateurs. Il bloque les traqueurs publicitaires, empêche les sites Web de charger des contenus dangereux et permet aux utilisateurs de naviguer en mode privé pour éviter de laisser des traces sur leur ordinateur.
<WRAP clear/>
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{{ :informatique:technologie:pasted:20230314-233924.png?150|Navigateur Google Chrome}}
**Google Chrome** a été créé en 2008 pour offrir aux utilisateurs un navigateur Web rapide, stable et sécurisé. Cela a également permis à l'entreprise Google de mieux suivre les habitudes de navigation de ses utilisateurs.
Chrome collecte des données sur les habitudes de navigation des utilisateurs, telles que les sites Web visités, les termes de recherche entrés, les cookies et les informations sur l'appareil. Ces données peuvent être utilisées pour améliorer les services de Google, notamment en personnalisant les résultats de recherche, en affichant des publicités ciblées et en améliorant l'expérience utilisateur.
De plus, Google a utilisé son expérience dans les technologies de l'Internet pour créer des fonctionnalités innovantes, telles que la recherche intégrée dans la barre d'adresse, la synchronisation de l'historique et des marque-pages sur plusieurs appareils et la navigation sécurisée.
===== 4 moteurs de rendu pour plusieurs navigateurs =====
Les navigateurs web utilisent différents moteurs de rendu pour interpréter et afficher les pages web. Par exemple, **Chrome** utilise le moteur **Blink**, **Firefox** utilise **Gecko**, **Safari** utilise **WebKit**, et Edge (à partir de la version 79) utilise également **Blink**. Les différences entre ces moteurs peuvent influencer la manière dont les pages web sont affichées et exécutées.
Il est à noter qu'un des objectifs des moteurs de rendu depuis les années 2000 a été de respecter scrupuleusement les normes du web, notamment les recommandations du W3C.
Les standards reconnus par les moteurs de rendu sont notamment HTTP, FTP, SSL, Unicode, JPEG, GIF, HTML, XHTML, XML, CSS, Javascript, ECMAScript, DOM, MathML, RDF, XSLT, SVG, PNG, RSS, Atom, Ajax et XUL.
^ Moteur ^ Statut ^ Éditeur ^ Licence ^ Utilisé dans les navigateurs ^
| WebKit | actif | Apple | GNU LGPL, BSD-style | Safari; navigateurs iOS; GNOME Web |
| Blink | actif | Google | GNU LGPL, BSD-style | Google Chrome; les navigateurs basés sur Chromium : Microsoft Edge; Brave; Vivaldi; Samsung Internet et Opera |
| Gecko | actif | Mozilla | Mozilla Public | Firefox;Thunderbird |
| Goanna | actif | M. C. Straver | Mozilla Public | Pale Moon; Basilisk et K-Meleon |
| Trident | maintenu | Microsoft | propriétaire | Internet Explorer |
| EdgeHTML | maintenu | Microsoft | propriétaire | quelques applications UWP; Edge |
| Flow | maintenu | Ekioh | propriétaire | Flow browser |
| Servo | maintenu | Linux Foundation | Mozilla Public | navigateurs expérimentaux; un peu Firefox |
| NetSurf | maintenu | hobbyists | GNU GPLv2 | NetSurf |
| LibWeb | maintenu | hobbyists | 2-clause BSD | Ladybird |
| KHTML | arrêté | KDE | GNU LGPL | Konqueror |
| Presto | arrêté | Opera | propriétaire | Opera |
En 2012, **Mozilla** a lancé le projet expérimental **Servo**, qui est un moteur conçu à partir de zéro dans le but d'améliorer la concurrence, la parallélisme tout en réduisant les vulnérabilités de sécurité liées à la mémoire. **Servo** est écrit dans le langage de programmation **Rust**, également créé par **Mozilla**, qui est conçu pour générer du code compilé avec une meilleure sécurité mémoire, concurrence et parallélisme que le code **C++** compilé.
En avril 2016, **Servo** avait besoin d'au moins plusieurs années de développement pour devenir un moteur de navigateur complet, d'où la décision de lancer le projet **Quantum** afin d'intégrer des parties stables de **Servo** dans **Firefox**. **Mozilla** a licencié tous les développeurs de **Servo** en août 2020.
**Mozilla** utilise le moteur de rendu **Gecko** comme base principale de son navigateur **Firefox**, mais avec l'intégration de certaines améliorations et composants issus du projet **Servo**. Cette combinaison de **Gecko** et de **Servo** dans **Firefox** est ce qui a été surnommé "**Firefox Quantum**"

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@@ -0,0 +1,29 @@
====== Matériel ======
===== Table des matières =====
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==== Les pages ====
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==== Les sous-catégories ====
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~~NOTOC~~
~~NOCACHE~~

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@@ -0,0 +1,142 @@
====== Ordinateurs personnels fabriqués par Thomson dans les années 80 ======
{{tag>"ordinateurs personnels"}}
{{ :dummy.png?75x75|Nom de la section}}
Thomson SA était un groupe industriel français qui a été fondé en 1879. Il était connu pour ses produits électroniques de grande consommation, tels que les téléviseurs, les radios, les lecteurs de disques et les ordinateurs personnels. Il était également présent dans les secteurs de l'équipement médical, des équipements de télécommunication, de l'aéronautique et de l'énergie.
En 2001, **Thomson Multimedia** a acquis une société américaine spécialisée dans les services à l'industrie des médias et du divertissement audio-visuel : **Technicolor**. En 2022, **Technicolor** a cédé son activité de licence de marque à un fonds d'investissement américain, et la marque Thomson appartient désormais à la société **Talisman Brands, Inc.1 d/b/a Established**.
{{ informatique:technologie:ordinateur:pasted:20230126-034825.png }}
Thomson SA était également un constructeur d'ordinateurs personnels. Il a commencé à produire des ordinateurs dans les années 1980 avec des modèles tels que le TO7, le TO8 et le TO9. Ces ordinateurs étaient populaires en France et étaient équipés de processeurs Motorola 68000. Ils étaient également dotés d'un clavier AZERTY complet, ce qui était apprécié par les utilisateurs français. Malgré cela, Thomson n'a pas réussi à rivaliser avec les autres constructeurs d'ordinateurs de l'époque, comme IBM ou Amstrad, et il a finalement abandonné la production d'ordinateurs dans les années 1990.
Les ordinateurs personnels fabriqués par **Thomson SA** dans les années 80 comprennent principalement les modèles suivants:
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{{ informatique:technologie:ordinateur:pasted:20230126-025305.png?300x|Thomson MO5}}
**Thomson MO5**
Le Thomson MO5 a été introduit en France en 1984 et était destiné au marché de l'éducation et de la maison. Il était équipé d'un clavier AZERTY et d'un connecteur pour cassette audio pour l'enregistrement et la lecture de programmes. Il était également compatible avec les périphériques de la gamme Thomson, tels que les imprimantes et les disques durs.
Il a été très populaire en France et a été utilisé dans de nombreux foyers et écoles. Il a également été utilisé par de nombreux développeurs pour créer des jeux et des logiciels pour le marché domestique. Il a été remplacé par le Thomson MO6 en 1986, qui a apporté des améliorations significatives telles que la mémoire supplémentaire, un interpréteur de BASIC intégré et des capacités graphiques améliorées.
Le Thomson MO5 fonctionne sur un processeur Motorola 6809E cadencé à 1 MHz et dispose de 48 KB de RAM (16 KB utilisés comme mémoire vidéo, 32 KB comme RAM utilisateur libre) et de 16 KB de ROM (4 KB pour le moniteur et 12 KB pour l'interpréteur BASIC). Les graphismes sont générés par un ensemble de portes EFGJ03L (ou MA4Q-1200) capable d'afficher un texte de 40x25 et une résolution de 320x200 pixels avec 16 couleurs (limitées par des zones d'attribut de couleur de 8x1 pixels). La palette de couleurs matérielle est RGBI à 4 bits, avec 8 couleurs RGB de base et un bit d'intensité (appelé P pour "Pastel") qui contrôle la saturation ("saturé" ou "pastel"). En mémoire, l'ordre des bits est PBGR. Les couleurs dé-saturées sont obtenues en mélangeant les composants RGB originaux dans le matériel vidéo. Cela est fait par un circuit PROM, où un masque à deux bits contrôle les ratios de mélange des couleurs de 0%, 33%, 66% et 100% de la teinte saturée. Cette approche permet d'afficher de l'orange plutôt que du "blanc dé-saturé" et du gris plutôt que du "noir dé-saturé".
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**Thomson MO6**
Le Thomson MO6 était un ordinateur basé sur le processeur Motorola 6809E qui a été introduit en France en 1986. Il était conçu comme le successeur du Thomson MO5 et disposait de 128 KB de RAM, d'un affichage de texte de 40x25 et d'un nouvel interpréteur de Microsoft BASIC intégré (BASIC 128). Il était compatible avec son prédécesseur, tout en incorporant la même technologie que le TO8.
Les capacités graphiques ont été étendues par rapport au MO5 grâce à l'utilisation de la puce graphique Thomson EF9369. La palette de 16 couleurs pouvait être définie à partir d'un total de 4096 et des modes vidéo supplémentaires étaient disponibles : 320x200x16 couleurs (2 couleurs par pixel de 8x1), 640x200x2 couleurs, 320x200x4 couleurs, 160x200x16 couleurs, 320x200x3 couleurs et un niveau de transparence, 320x200x2 couleurs (permet de basculer entre deux pages d'écran) et 160x200x5 couleurs avec 3 niveaux de transparence.
En Italie, il a été vendu par Olivetti avec de petits changements esthétiques et s'appelait Olivetti Prodest PC128. 21 jeux ont été sortis pour le MO6. La machine était disponible jusqu'en janvier 1989.
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{{ informatique:technologie:ordinateur:pasted:20230126-025421.png?300x|Thomson TO7, source : mo5.com}}
**Thomson TO7**
Le Thomson TO7 a été introduit en France en 1982 et était destiné au marché de la maison, similaire au Thomson MO5. Il était également compatible avec les périphériques de la gamme Thomson, tels que les imprimantes et les lecteurs de disquettes.
Il fonctionne sur un processeur Motorola 6809 cadencé à 1 MHz et dispose de 22 KB de RAM (8 KB pour l'utilisateur, 8 KB utilisés comme mémoire vidéo et 8 K x 6 bits de mémoire de couleur) et de 20 KB de ROM (4 KB pour le moniteur et 16 KB sur les cartouches MEMO7).
Comme c'est commun pour les ordinateurs domestiques conçus pour être connectés à un écran de télévision ordinaire, la zone active de 320x200 pixels ne couvre pas l'intégralité de l'écran et est entourée d'une bordure. Les graphismes étaient limités à 8 couleurs (générés par combinaison de primaires RVB) avec des contraintes de proximité (2 couleurs pour chaque zone de 8x1 pixels). La sortie vidéo est RVB sur un connecteur SCART, avec un taux de rafraîchissement compatible 625 lignes 50Hz.
L'audio était équipé d'un générateur de son à un seul canal avec cinq octaves. Une "extension de jeu" était capable de son à quatre canaux, six octaves.
Le clavier comporte 58 touches et comprend des touches de direction.
En plus des cartouches, la machine utilisait des bandes magnétiques pour le stockage des fichiers. Il est intéressant de noter que le Thomson TO7 était également connu sous le nom de "Thomson T07" en Allemagne et en Suisse, où il a également été commercialisé.
Il a été un concurrent direct des ordinateurs domestiques populaires de l'époque tels que le **Commodore 64** et l'**Atari 800**, mais n'a pas connu le même succès commercial. Malgré cela, il a été utilisé par de nombreux développeurs pour créer des jeux et des logiciels pour le marché domestique. Il a été remplacé par le **Thomson TO8** en 1984, qui a apporté des améliorations significatives telles que la mémoire supplémentaire, un processeur plus rapide et des capacités graphiques améliorées.
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{{ informatique:technologie:ordinateur:pasted:20230126-025634.png?300x|Thomson TO7/70, source : mo5.com}}
**Variante TO7/70**
Le "/70" dans le nom du modèle Thomson TO7/70 fait référence à la quantité de mémoire vive (RAM) de l'ordinateur. La version TO7/70 était équipée de 70 ko de mémoire vive, ce qui était plus que la mémoire standard de 32 ko de RAM dans le modèle de base TO7. Cette mémoire supplémentaire permettait à l'ordinateur de gérer des applications plus complexes et de travailler avec des fichiers plus volumineux.
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{{ informatique:technologie:ordinateur:pasted:20230126-024652.png?300x|Thomson TO8}}
**Thomson TO8**
Le Thomson TO8 est un ordinateur domestique introduit par la société française Thomson SA en 1986. Il remplace son prédécesseur, le **Thomson TO7/70**, tout en restant essentiellement compatible. Les nouvelles fonctionnalités du TO8, telles que la mémoire plus grande et les meilleurs modes graphiques, sont partagées avec les autres ordinateurs Thomson de troisième génération (MO6 et TO9+).
Le TO8 possède un lecteur de cassette et un interpréteur **Microsoft BASIC 1.0** (dans les versions standard et 512 KB) sur sa ROM interne, et il existe un lecteur de disquette externe en option. Les graphismes étaient fournis par le circuit **Thomson EF9369**, permettant l'affichage de 16 couleurs à partir d'une palette de 4096.
Plus de 120 jeux existent pour le système.
Une version améliorée, le **Thomson TO8D**, inclut un lecteur de disquette 3,5" intégré.
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{{ informatique:technologie:ordinateur:pasted:20230126-024849.png?300x|Thomson TO9}}
**Thomson TO9**
Le Thomson TO9 est un ordinateur domestique introduit par la société française Thomson SA en 1985. Il est basé sur le Thomson TO7/70 avec de nouvelles fonctionnalités. Il comprend un lecteur de disquette 3,5" intégré de 320 Kb, et des entrées pour stylo lumineux, joystick et souris. La ROM comprend des utilitaires tels que: deux versions de BASIC, un traitement de texte (Paragraphe) et un programme de base de données (Fiche & Dossiers). La machine était compatible avec les modèles précédents TO7 et TO7/70. Dix jeux ont été publiés pour le TO9.
Introduit en octobre 1985, le Thomson TO9 a été rapidement remplacé par le Thomson TO9+ qui est sorti en 1986.
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**Thomson TO9+**
Le Thomson TO9+ est un ordinateur personnel introduit par la société française Thomson SA en 1986. Il a conservé l'aspect professionnel du Thomson TO9 en utilisant un clavier séparé (les modèles d'entrée de gamme avaient généralement un clavier intégré).
Il est basé sur le Thomson TO8 et entièrement compatible avec lui. Cela lui permet également de faire fonctionner les logiciels Thomson MO6. L'ordinateur a été conçu pour être utilisé comme un serveur Minitel et possède un modem V23 intégré (à une vitesse de 1200/75 bauds). Cette fonctionnalité était accessible via BASIC et à partir du logiciel de communication qui accompagnait l'ordinateur. La machine était vendue avec un programme de traitement de texte (Paragraphe), une base de données (Fiches & Dossiers) et un tableur (Multiplan).
Par rapport au TO9, le TO9+ a ajouté :
* Basic 512
* 512 KB de RAM
* lecteur de disquettes double face (640 kB)
* modem intégré
* deux ports pour souris ou joysticks.
Le Thomson TO9+ était un ordinateur de bureau populaire en France dans les années 80, notamment en raison de ses capacités de serveur Minitel intégrées. Il était souvent utilisé dans les entreprises et les écoles pour la gestion de bases de données et la communication en ligne. Il était également apprécié pour sa compatibilité avec les logiciels de la série Thomson MO6, ce qui a augmenté sa polyvalence pour les utilisateurs. Cependant, malgré ses améliorations par rapport au Thomson TO9, il n'a pas connu autant de succès commercial que ses concurrents tels que le Commodore Amiga ou l'Atari ST.
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{{ informatique:technologie:ordinateur:pasted:20230126-024438.png?300x|Thomson TO8D}}
**Thomson TO8D**
Une version améliorée du **Thomson TO8**, inclut un lecteur de disquette 3,5" intégré.
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**Variante T08D/80**
Le "/80" dans le nom du modèle Thomson TO8D/80 fait référence à la mémoire vidéo de 80ko. Cette mémoire vidéo était utilisée pour stocker les informations d'affichage à l'écran, ce qui permettait une meilleure résolution graphique. Cela signifie que l'ordinateur pouvait afficher des images plus détaillées et des couleurs plus riches.
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{{ informatique:technologie:ordinateur:pasted:20230126-031103.png?300x|Thomson TO16, source mo5.com}}
**Thomson TO16**
Il était un ordinateur personnel qui a été lancé en 1987. Il était équipé d'un processeur **Intel 8088** qui tournait à des fréquences de 4.77 ou 9.54 MHz. Il était également compatible avec un co-processeur **Intel 8087**, ce qui lui permettait de gérer des calculs plus complexes. Il avait également 512 KB de RAM, qui pouvait être étendu jusqu'à 768 KB sur la carte mère, et 32 KB de ROM.
En termes de connectivité, le TO16 était équipé d'un **Adaptateur d'affichage monochrome IBM**, une carte graphique Hercules Graphics Card, CGA et Plantronics Colorplus compatible. Il disposait d'un lecteur de disquette interne 5"1/4 de 360 KB, deux emplacements d'expansion ISA, des connections pour un disque dur externe, des interfaces RS-232C Serie et Centronics Parallel (Micro ribbon connector) et en option un modem.
Il était doté d'un clavier AZERTY complet, ce qui était apprécié par les utilisateurs français.
Il était également compatible avec les logiciels déjà existants pour les modèles précédents de la marque Thomson tels que le **TO7/70**, ce qui a permis aux utilisateurs de continuer à utiliser leurs logiciels préférés. Malheureusement, le **TO16** a été commercialisé à un moment où les **ordinateurs compatibles IBM** étaient en train de devenir la norme sur le marché, ce qui a rendu difficile pour Thomson de rivaliser avec les autres constructeurs. Néanmoins, il reste un ordinateur très apprécié des collectionneurs et des utilisateurs nostalgiques de cette époque.
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Il y a aussi des modèles moins connus comme le TO7/90, TO9+/120
--- //[[user:cedricabonnel]], [[user:CPT]] et mo5.com //

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@@ -0,0 +1,14 @@
====== Ordinateurs personnels IBM ======
{{tag>"ordinateurs"}}
{{ :dummy.png?75x75|Nom de la section}}
IBM (International Business Machines) a lancé sa première génération de PC (Personal Computer) en 1981. Cette machine, appelée IBM PC, était basée sur un microprocesseur Intel 8088 et utilisait un système d'exploitation [[informatique:se:pc-dos:index|PC-DOS]] (plus tard rebaptisé MS-DOS par Microsoft). IBM a utilisé une architecture ouverte pour le PC, ce qui a permis à d'autres fabricants de cloner la machine et de proposer des ordinateurs compatibles IBM PC.
Au fil des années, IBM a continué à développer et à mettre à jour sa ligne de PC, en lançant des modèles tels que l'IBM PC/XT en 1983 et l'IBM PC/AT en 1984. Ces machines ont été très populaires dans les entreprises et les organisations gouvernementales, et ont contribué à populariser l'utilisation des ordinateurs personnels dans le monde des affaires.
Malgré le succès initial de ses ordinateurs personnels, IBM a rencontré des difficultés à maintenir sa part de marché face à la concurrence croissante de fabricants tels que Compaq, Dell et HP. En 2005, IBM a décidé de se retirer du marché des ordinateurs de bureau et de se concentrer sur les services informatiques et les technologies de l'information.
IBM a continué à vendre des ordinateurs portables sous sa marque jusqu'en 2005, après cette date il a concentré ses efforts sur les services informatiques, les technologies de l'information et les ordinateurs serveurs.
--- //[[user:cedricabonnel]] et [[user:CPT]] //

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@@ -0,0 +1,22 @@
====== CPU 286 ou 80286 ======
{{tag>"composant informatique"}}
{{ informatique:technologie:processeur:pasted:20230126-014932.png?300x|Processeur Intel 80286}}
Le CPU (Central Processing Unit) 80286 est un microprocesseur qui a été produit par Intel dans les années 1980. Il a été introduit en 1982 et a remplacé le **CPU Intel 8086** qui était utilisé dans les premiers ordinateurs personnels. Le **CPU 80286** est un processeur **16 bits** qui a été utilisé dans de nombreux ordinateurs personnels de l'époque, notamment les premiers modèles de l'IBM PC/AT. Il a également été utilisé dans les premiers modèles de Macintosh d'Apple. Il était capable de traiter jusqu'à **16 Mo de mémoire vive**, offrait un support pour les protocoles de réseau et offrait une performance significativement supérieure à celle des processeurs précédents.
Le **CPU 80286** avait un total de **132 broches**. Il était fabriqué avec un procédé de fabrication de 1 micron et comportait environ **130 000 transistors**. Il avait une puissance de calcul de **1,5 MIPS** (million d'instructions par seconde) à **8 MHz**, et pouvait être overclocké jusqu'à **24 MHz** ((cas du 80286-12)). L'alimentation électrique était de 5V, la consommation électrique varie en fonction de la fréquence d'horloge, alors la **consommation** était d'environ **5W**. La consommation électrique était relativement élevée par rapport aux processeurs modernes et qu'elle pouvait causer des problèmes de chaleur pour les ordinateurs qui utilisaient le CPU 286.
La faille de sécurité du mode protégé du **286**, également connue sous le nom de "faille de sécurité du mode protégé de Windows" a été découverte en 1988 et a permis à des utilisateurs malveillants d'accéder à des zones mémoire qui étaient normalement protégées par le système d'exploitation. Cela a permis aux utilisateurs malveillants de prendre le contrôle de l'ordinateur et de causer des dommages importants.
Les ordinateurs portables utilisant un **CPU 80286** pesait environ 10 kg, il était donc difficile de le transporter et c'était plutôt utilisé pour les situations fixes.
Le **80286** a été un des premiers processeurs à être utilisé dans les ordinateurs de bureau et les ordinateurs portables, il a donc joué un rôle important dans l'histoire de l'informatique en permettant aux utilisateurs de disposer d'une puissance de calcul plus importante.
Voir la page https://www.qsl.net/f6flv/80286.html
Le 80286 est le dernier processeur 16 bits de la famille Intel. Son prédécesseur est le CPU Intel 8088 (16 bits) et son successeur est le CPU Intel 80386 (32 bits).
Les concurrents directs du **Intel 80286** étaient les processeurs [[.:motorola-68000|Motorola 68000]]** et **National Semiconductor 16032**. Le **80286** a également été concurrencé par des **processeurs compatibles x86** de fabricants tels que **AMD** et **Cyrix**. Chez AMD, le 80286 a été concurrencé par leurs processeurs Am286 et Am386. Chez Cyrix, le 80286 a été concurrencé par leurs processeurs **Cx286** et **Cx386**. Ces processeurs étaient tous des **processeurs compatibles x86** conçus pour être utilisés dans les ordinateurs compatibles IBM PC.
--- //[[user:cedricabonnel]] et [[user:CPT]] //

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@@ -0,0 +1,29 @@
====== Processeurs ======
===== Table des matières =====
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<WRAP half column>
==== Les pages ====
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==== Les sous-catégories ====
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~~NOTOC~~
~~NOCACHE~~

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@@ -0,0 +1,30 @@
====== Motorola 68000 ======
{{tag>"composants"}}
{{ informatique:technologie:processeur:pasted:20230126-021551.png?300x|Puce Motorola 68000 R10}}
Le **Motorola 68000** est un microprocesseur **16 bits** fabriqué par Motorola. Il a été introduit en 1979 et a été utilisé dans de nombreux ordinateurs personnels et professionnels dans les années 1980 et 1990. Il possède une architecture de type Von Neumann, avec un bus de données de 16 bits et un bus d'adresses de 24 bits, permettant l'accès à **16 Mo de mémoire**. Il est capable d'exécuter des instructions à une vitesse de **8 MHz**.
Le Motorola 68000 a un boîtier à 160 broches, qui permet l'accès à ses différents ports d'entrée/sortie, ainsi qu'à ses buses d'adresses et de données. Il consomme environ **3 watts** à 8 MHz. Il est capable de fonctionner à des fréquences allant de 4 à 8 MHz en standard, mais certains modèles overclockés ont été utilisés jusqu'à 16 MHz. Il possède 29 registres internes.
Le **Motorola 68000** a été utilisé dans de nombreux systèmes informatiques célèbres, notamment :
* Les ordinateurs Macintosh d'Apple jusqu'à la fin des années 1990
* Les ordinateurs Atari ST et Atari Falcon
* Les ordinateurs Amiga d'Commodore
* Les ordinateurs Acorn Archimedes
* Les ordinateurs Sinclair QL
* Les ordinateurs HP 9000
* Les premiers ordinateurs NeXT
* Les ordinateurs Sun workstations.
* Le 68000 est aussi utilisé pour de nombreux systèmes embarqués et équipements industriels.
Le Motorola 68000 est un microprocesseur 16 bits qui a été introduit en 1979 par la société Motorola. Conçu à l'origine pour être utilisé dans des applications industrielles et scientifiques, il a finalement été adopté par de nombreux fabricants d'ordinateurs personnels et professionnels. Il était considéré comme l'un des microprocesseurs les plus avancés de l'époque.
L'un des plus célèbres systèmes qui utilisait le 68000 est les premiers ordinateurs **Macintosh d'Apple**. En utilisant ce processeur, les **Macintosh** ont pu se démarquer par rapport aux ordinateurs IBM compatibles de l'époque qui utilisaient des **processeurs compatibles x86 moins puissants**. Les ordinateurs Macintosh ont été un succès commercial, en grande partie grâce à leur puissance de traitement et à leur interface utilisateur intuitive.
Le 68000 a également été utilisé dans de nombreux autres ordinateurs célèbres tels que les ordinateurs **Atari ST** et **Atari Falcon**, les ordinateurs **Amiga de Commodore**, qui étaient très populaires dans les milieux professionnels et des jeux vidéo. Les ordinateurs **Archimedes d'Acorn** ont également été utilisés dans les écoles britanniques dans les années 1980 et 1990 pour l'enseignement de l'informatique.
--- //[[user:cedricabonnel]] et [[user:CPT]] //

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@@ -0,0 +1,16 @@
====== Motorola 6809 ======
{{tag>"composants"}}
{{ :dummy.png?75x75|Nom de la section}}
Le Motorola 6809 est un microprocesseur 8 bits introduit en 1978, qui faisait partie de la famille 68xx de Motorola. Il était souvent considéré comme une version améliorée du 6800, car il possédait des fonctionnalités avancées qui ont augmenté sa puissance de traitement. Il disposait de 8 registres internes, dont un registre direct de page qui augmentait la mémoire adressable. Il disposait également d'un bus de données de 8 bits et d'un bus d'adresses de 16 bits, permettant l'accès à 64 KiB de mémoire. Il possédait une instruction de décalage à droite automatique des registres, une instruction de décalage à gauche automatique des registres et une instruction de décalage circulaire des registres, ce qui permettait des opérations logiques et arithmétiques plus rapides. Il possédait aussi une instruction de gestion de la pile de retour qui permettait une meilleure gestion des sous-routines. Il fonctionnait à une fréquence de 1,5 MHz, mais certains modèles overclockés ont été utilisés jusqu'à 2 MHz.
Le 6809 était utilisé dans de nombreux ordinateurs personnels et professionnels des années 1970 et 1980, tels que les ordinateurs Commodore 64, Atari 800, et les ordinateurs professionnels TRS-80.Il a été utilisé dans de nombreux systèmes embarqués et appareils électroniques grand public tels que les consoles de jeux, les lecteurs de disques et les appareils photo. Il a également été utilisé dans des systèmes de contrôle industriels et des applications militaires.
Le processeur Motorola 6809 a été utilisé dans plusieurs ordinateurs Thomson, notamment la série des ordinateurs TO7 et TO8. Ces ordinateurs étaient des ordinateurs personnels haut de gamme commercialisés dans les années 1980 en France. Ils étaient équipés d'un écran intégré, d'un clavier complet et d'un lecteur de disquettes, et étaient compatibles avec les logiciels pour ordinateur personnel de l'époque. Les ordinateurs TO7 et TO8 étaient utilisés principalement pour les applications professionnelles, telles que la bureautique, les applications de gestion de base de données et les applications de développement de logiciels.
Quant au Thomson TO5, c'est un ordinateur personnel commercialisé en France dans les années 1980. Il était équipé d'un écran intégré, d'un clavier complet et d'un lecteur de disquettes. Il était également équipé d'un port série et d'un port parallèle, ce qui permettait de connecter des périphériques externes tels que des imprimantes ou des disques durs. Le TO5 était principalement utilisé pour les applications bureautiques et éducatives, et il était considéré comme un des premiers ordinateurs personnels abordables en France.
Le **Thomson MO6** est un ordinateur personnel commercialisé en France à partir de 1986, il était équipé d'un processeur **Motorola 6809E (8 bits)** à 1 MHz. Voir les [[informatique:technologie:ordinateur:ordinateurs-personnels-fabriques-par-thomson-dans-les-80]].
--- //[[user:cedricabonnel]] et [[user:CPT]] //

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@@ -0,0 +1,12 @@
====== unicode UTF-8 ======
{{tag>"script linux"}}
{{ :dummy.png?75x75|Nom de la section}}
UTF-8 est un format de codage de caractères qui permet de représenter des caractères de n'importe quelle langue dans un ordinateur. Il est largement utilisé sur Internet et dans les applications pour stocker et transmettre des données textuelles. UTF-8 est conçu pour être compatible avec les anciens systèmes d'encodage de caractères, tout en offrant une plus grande variété de symboles et de langues pris en charge. Il est devenu un standard pour l'encodage de caractères sur le web.
L'Unicode Consortium est responsable de l'établissement et de la maintenance de la liste officielle des symboles UTF-8.
Liste de sites pour retrouver un code UTF-8 :
<nav stacked="true" fade="true">
* https://unicode-table.com/
</nav>

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@@ -0,0 +1,125 @@
====== Virtualisation ======
> Point sur les controleurs réseau
Arêter le service de virtualisation :
<code>
# systemctl stop libvirtd
</code>
Il faut effacer le contenu ''/etc/libvirt/qemu/networks/default.xml'' avec la commande :
<code>
# virsh net-edit default
</code>
Faire le ménage dans les connexions réseaux :
<code>
$ sudo nmcli connection show
NAME UUID TYPE DEVICE
eno1 a0676aad-a0c4-3d9b-a129-ce42f02035c7 ethernet eno1
virbr0 afe3b947-1394-498e-8c89-e98fc88e6fa4 bridge virbr0
ACEGRP1_NET f113a83e-3641-4de5-80c2-5d8b7634074c wifi --
Connexion filaire 1 c26b6ba3-bd58-3b07-99fc-fb0f0ebb3b92 ethernet --
jside_smrt 15d2efcb-03b0-4836-bbaa-9499d783717a wifi --
</code>
<code>
$ nmcli connection delete virbr0
Connexion « virbr0 » (acbd676d-94b1-41d7-9f32-410e55be901e) supprimée.
$ nmcli connection delete "Connexion filaire 1"
Connexion « Connexion filaire 1 » (c26b6ba3-bd58-3b07-99fc-fb0f0ebb3b92) supprimée.
</code>
Suppression des routes :
<code>
$ ip route show
default via 192.168.100.254 dev eno1 proto dhcp metric 100
192.168.100.0/24 dev eno1 proto kernel scope link src 192.168.100.100 metric 100
192.168.122.0/24 dev virbr0 proto kernel scope link src 192.168.122.1 linkdown
#ip route del 192.168.122.0/24
</code>
===== Installation sous Fedora 31 =====
Installer les composants :
<code>
# dnf -y install qemu-kvm libvirt virt-install
</code>
Vérifier que le module est installé :
<code>
# lsmod | grep kvm
kvm_intel 303104 0
kvm 782336 1 kvm_intel
irqbypass 16384 1 kvm
</code>
Activer le service de virtualisation :
<code>
systemctl enable --now libvirtd
</code>
<code>
$ ip a
1: lo: <LOOPBACK,UP,LOWER_UP> mtu 65536 qdisc noqueue state UNKNOWN group default qlen 1000
link/loopback 00:00:00:00:00:00 brd 00:00:00:00:00:00
inet 127.0.0.1/8 scope host lo
valid_lft forever preferred_lft forever
inet6 ::1/128 scope host
valid_lft forever preferred_lft forever
2: eno1: <BROADCAST,MULTICAST,UP,LOWER_UP> mtu 1500 qdisc fq_codel state UP group default qlen 1000
link/ether 00:22:4d:9d:47:03 brd ff:ff:ff:ff:ff:ff
inet 192.168.100.100/24 brd 192.168.100.255 scope global dynamic noprefixroute eno1
valid_lft 257770sec preferred_lft 257770sec
inet6 fe80::73c1:c76e:7041:7336/64 scope link noprefixroute
valid_lft forever preferred_lft forever
3: virbr0: <NO-CARRIER,BROADCAST,MULTICAST,UP> mtu 1500 qdisc noqueue state DOWN group default qlen 1000
link/ether 52:54:00:a2:4f:da brd ff:ff:ff:ff:ff:ff
inet 192.168.122.1/24 brd 192.168.122.255 scope global virbr0
valid_lft forever preferred_lft forever
4: virbr0-nic: <BROADCAST,MULTICAST> mtu 1500 qdisc fq_codel master virbr0 state DOWN group default qlen 1000
</code>
<code>
$ nmcli connection delete virbr0
</code>
===== Créer une machine virtuelle =====
Pour créer une machine virtuelle, il faut :
* créer ou des des disques durs virtuels
* avoir une image d'installation du système d'exploitation
> Créer un disque dur virtuel
<code>
qemu-img create -f qcow2 /media/disk_14/vm/hdd/qmulmt001.qcow2 30G
</code>
L'extension du fichier du disque dur permet de créer de manière automatique le format au format associé. Les possilibités sont **.vdi**, **.img** (format raw), **.vhd**, **.vmdk**. Vous pouvez également utiliser les format natifs de Qemu, **.qcow2**, **.qed**, **.qcow** et **.cow**.
> Obtenir une image de système d'exploitation
> Démarrage avec une image disque
<code>
qemu-system-x86_64 \
-boot d -cdrom /run/media/cedric24c/disk_18/logiciels/ISO/OS/Mint/linuxmint-19.2-xfce-64bit.iso -m 1024 \
-hda /media/disk_14/vm/hdd/qmulmt001.qcow2 \
-enable-kvm \
-net nic,vlan=0 -net tap,vlan=0,ifname=tap0,script=./qemu-ifup
</code>
====== Biblio ======
* https://www.server-world.info/en/note?os=Fedora_31&p=kvm&f=1

View File

@@ -0,0 +1,14 @@
====== wacom ======
{{ :dummy.png?75x75|Nom de la section}}
La troisième génération de tablette graphique **Wacom Intuos** a reçu une mise à jour du micrologiciel pour activer la prise en charge d'Android. Cette prise en charge a été ajoutée à l'aide du pilote HID générique sous Android (Android n'est généralement pas livré avec le pilote Wacom). Cette mise à jour voit le firmware //détecter// maintenant s'il est connecté à un système Android. Si la tablette pense qu'elle est connectée à un **système Android**, elle affichera au système un **identifiant vendeur 2d1f** ( Vendor ID - VID), et donc libwacom (et le centre de contrôle) ne reconnaîtra pas la tablette. Malheureusement, ce mécanisme de détection identifiera dans certains cas un système Linux comme un système Android.
Pour remettre manuellement la tablette dans son **mode d'origine** (**VID 056a**), maintenez les boutons 1 et 4 enfoncés pendant **4 secondes**.
Liste des périphériques avec le problème connu :
^ Marque ^ Nom du modèle ^ VID:PID ^
| Wacom Intuos M | CTL-6100 | 056a:0375 |
| Wacom Intuos BT M | CTL-6100WL | 056a:0378 |
| Wacom Intuos S | CTL-4100 | 056a:0374 |
| Wacom Intuos BT S | CTL-4100WL | 056a:0376 |

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@@ -0,0 +1,114 @@
====== Wifi ======
{{tag>"Technologies sans fil"}}
===== Modes de fonctionnement =====
Cette section explique les différents modes de fonctionnement que vous pouvez utiliser avec un appareil de point d'accès multifonctions sans fil.
Selon la manière dont vous utilisez votre appareil sans fil, ce dernier détermine le mode que vous utilisez. Cette section vous aidera à comprendre quel paramètre fonctionne avec votre configuration.
==== Mode point d'accès ====
Appelé également **AP Mode**, **Access Point Mode**
En mode **Point d'accès**, l'appareil sans fil sert de point de connexion central à tous les ordinateurs (clients) possédant une interface réseau sans fil 802.11n ou rétro compatible 802.11b/g et se trouvant à portée du point d'accès. Les clients doivent utiliser le même **SSID** (nom du réseau sans fil) et le même **canal** que le PA pour se connecter. Si la **sécurité sans fil** est activée sur le PA, le client doit saisir un mot de passe pour sy connecter.
En mode Point d'accès, plusieurs clients peuvent se connecter au PA en même temps.
{{ informatique:reseaux:wifi:mode_de_fonctionnement:mode_point_d_acces:wifi_point_acces_ap.png |fonctionnement en point d'accès}}
==== Mode Routeur de voyage ====
Appelé également **Travel Router Mode**
Le **mode Travel Router** est un mode de fonctionnement d'un routeur qui permet de créer un réseau local privé (VPN) pour les appareils connectés, lorsque l'on se déplace. Dans ce mode, le routeur se connecte à un réseau sans fil public existant, tel qu'un réseau Wi-Fi dans un aéroport ou un café, et crée un réseau privé pour les appareils connectés.
L'objectif principal de ce mode est de fournir une connexion Internet sécurisée pour les appareils connectés, sans avoir à se connecter directement à un réseau public potentiellement non sécurisé. Les données transmises sur le réseau privé créé par le routeur sont cryptées, ce qui protège les données sensibles des utilisateurs et empêche les cybercriminels d'intercepter ou d'utiliser les informations.
Le **mode Travel Router** est souvent utilisé par les voyageurs pour sécuriser leur connexion Internet lorsqu'ils se déplacent et pour éviter les réseaux publics non sécurisés. Il peut également être utilisé dans des situations où une connexion Internet sécurisée est nécessaire, telles que les réunions d'affaires, les conférences, etc.
Appareils compatibles : TL-MR3020
==== Mode client sans fil ====
Appelé également **Wireless Client Mode**
Le mode **Client sans fil** (Wireless Client Mode) est un mode de fonctionnement d'un routeur qui permet à ce dernier de se connecter à un réseau sans fil existant en tant que simple client. Dans ce mode, le routeur ne fait que se connecter à un **point d'accès** (AP) sans fil pour obtenir une connexion Internet. Les appareils connectés au routeur ne peuvent pas accéder directement à Internet, ils doivent se connecter directement à l'AP sans fil pour accéder à Internet.
Ce mode est souvent utilisé dans les situations où il existe déjà un réseau sans fil fonctionnel et que l'on souhaite simplement ajouter un autre appareil pour accéder à Internet sans configurer un nouveau réseau sans fil. Cependant, il est important de noter que dans ce mode, le routeur ne fait aucune fonction de routage ni de partage de connexion et n'offre donc pas les mêmes avantages qu'un routeur en mode **WISP Client Router**.
**Exemple :** Connectez une console de jeu à l'appareil sans fil à l'aide d'un câble Ethernet. L'appareil sans fil est configurée sur le mode **Client sans fil**; il se connecte donc sans fil à un routeur sans fil de votre réseau.
{{ informatique:reseaux:wifi:mode_de_fonctionnement:mode_client_sans_fil:mode_client_sans_fil.png |mode client sans fil}}
==== Mode répétiteur ====
En mode **Répétiteur**, l'appareil sans fil augmente la portée de votre réseau sans fil en étendant la couverture sans fil d'un autre appareil ou routeur sans fil. Les appareils et routeurs sans fil (le cas échéant) doivent se trouver à portée les uns des autres.
Vérifiez que tous les clients, les appareils et le routeur sans fil utilisent le même SSID (nom du réseau sans fil), le même canal et les mêmes paramètres de sécurité.
{{ informatique:reseaux:wifi:mode_de_fonctionnement:mode_repetiteur:mode_repetiteur.png |mode répétiteur}}
==== Mode pont ====
En mode Pont, l'appareil sans fil se connecte sans fil à des réseaux locaux distincts qui ont du mal à se connecter ensemble avec un câble. Par exemple, si deux réseaux locaux câblés sont séparés par une petite cour, il serait onéreux d'enterrer les câbles pour connecter les deux côtés. La meilleure solution est d'utiliser deux appareils sans fil de même modèle pour se connecter aux deux réseaux locaux. En mode Pont, les deux appareils sans fils ne servent pas de point d'accès.
Remarque : Le mode Pont n'est pas spécifié dans les normes Wifi ou IEEE. Ce mode fonctionne uniquement avec
deux appareils sans fil le permettant. La communication avec d'autres points d'accès n'est pas garantie.
Les PC sans fil ne peuvent pas accéder aux appareils sans fil en mode pont.
{{ informatique:reseaux:wifi:mode_de_fonctionnement:mode_pont:mode_pont.png |mode pont}}
==== Mode pont avec point d'accès ====
Le mode **Pont avec PA** est identique au **mode Pont**, mais dans ce cas, l'appareil sans fil sert aussi de point d'accès. Les clients possédant des interfaces sans fil peuvent se connecter sans fil à l'appareil sans fil, puis se connecter à un autre réseau local avec lequel l'appareil sans fil établit un pont.
**Remarque :** Le mode **Pont avec point d'accès** n'est pas spécifié dans les normes Wifi ou IEEE. Ce mode fonctionne uniquement avec deux appareils de même modèle. La communication avec d'autres point d'accès de modèle différent n'est pas garantie.
Les PC sans fil peuvent accéder aux appareils sans fil.
{{ informatique:reseaux:wifi:mode_de_fonctionnement:mode_pont_avec_pa:mode_pont_avec_point_d_acces.png |mode pont avec point d'accès}}
==== Mode routeur client WISP ====
Appelé également **WISP Client Router Mode**
Le mode **WISP Client Router** (Wireless Internet Service Provider) est un mode de fonctionnement d'un routeur qui permet à ce dernier de se connecter à un réseau sans fil fourni par un fournisseur d'accès Internet (FAI) pour fournir une connexion Internet à des appareils connectés au réseau local du routeur. Dans ce mode, le routeur agit en tant que client et se connecte à un point d'accès (AP) fourni par le FAI, puis redistribue la connexion Internet aux appareils connectés au réseau local. Cela permet aux utilisateurs d'avoir une connexion Internet stable sans avoir à se connecter directement à l'AP du FAI.
Le mode **Client sans fil** (Wireless Client Mode) est similaire au mode **WISP Client Router**, mais avec une différence clé. Dans ce mode, le routeur agit simplement en tant que client et se connecte à un point d'accès (AP) sans fil, sans redistribuer la connexion Internet à d'autres appareils. Les appareils connectés au routeur ne peuvent donc pas accéder directement à Internet. Au lieu de cela, ils doivent se connecter directement à l'**AP** sans fil pour accéder à Internet.
En d'autres termes, dans le mode **WISP Client Router**, le routeur agit comme une passerelle pour la connexion Internet, tandis que dans le mode **Client sans fil**, il ne fait que se connecter à un réseau sans fil sans aucune fonction de routage ou de partage de connexion.
{{ informatique:reseaux:wifi:mode_de_fonctionnement:mode_routeur_client_wisp:mode_client_wisp.png |mode routeur client WISP}}
Produit compatible : TL-MR3020
==== Mode répétiteur WISP ====
En mode **Répétiteur WISP**, l'appareil se connecte sans fil à un PA WISP (fournisseur de service Internet sans fil). Dans ce mode, l'appareil sans fil sert également de routeur pour les clients sans fil et câblés de votre réseau local. Le mode Répétiteur WISP fournit la NAT (traduction d'adresse de réseau) et un serveur DHCP pour générer des adresses IP pour les clients sans fil et câblés. La NAT et le serveur DHCP permettent à plusieurs ordinateurs de partager la même connexion Internet sans fil.
{{ informatique:reseaux:wifi:mode_de_fonctionnement:mode_repetiteur_wisp:mode_repetiteur_wisp.png |mode répétiteur WISP}}
===== Mode 4G Routeur =====
Appelé également **3G/4G Router Mode**, **3G Router Mode**, **4G Router Mode**
Le **mode 4G Routeur** est un mode de fonctionnement d'un routeur qui permet à ce dernier de se connecter à un réseau cellulaire 4G pour fournir une connexion Internet aux appareils connectés au réseau local du routeur. Dans ce mode, le routeur est équipé d'une carte SIM et peut accéder directement au réseau 4G sans avoir besoin d'une connexion filaire ou sans fil.
Le **mode 4G Routeur** est souvent utilisé dans les zones où la couverture Internet par câble ou par ADSL est limitée ou absente. Il est également utilisé dans des situations où une connexion Internet mobile est nécessaire pour les déplacements, telles que les camions, les caravanes, les bateaux, etc.
En **mode 4G Routeur**, le routeur agit comme une passerelle pour la connexion Internet et redistribue la connexion Internet aux appareils connectés au réseau local. Les utilisateurs peuvent donc accéder à Internet via le réseau local du routeur sans avoir à se connecter directement au réseau cellulaire 4G.
Produits compatibles : TL-MR3020
===== Éléments à prendre en compte avant dinstaller le réseau sans fil =====
Le point d'accès sans fil vous permet daccéder à votre réseau à laide dune connexion sans fil de presque
nimporte où dans la portée de fonctionnement du réseau. Vous devez toutefois garder à lesprit que le nombre,
lépaisseur et lemplacement des murs, plafonds ou autres objets à travers lesquels les signaux sans fil doivent passer peuvent limiter la portée. En général, les portées varient en fonction des types de matériau et du bruit RF (radiofréquence) de fond de votre domicile ou votre entreprise. Pour optimiser la portée de votre réseau sans fil, suivez ces conseils de base :
- Limitez au maximum le nombre de murs et de plafonds entre le point d'accès et dautres périphériques du réseau. Chaque mur ou plafond peut réduire la portée de votre adaptateur de 1 à -30 mètres. Placez les appareils de façon à limiter le nombre de murs ou de plafonds.
- Faites attention à la ligne directe entre les périphériques en réseau. Un mur de 50cm dépaisseur avec une inclinaison de 45 degrés équivaut à un mur de presque 1 mètre dépaisseur. Avec une inclinaison de 2 degrés, il équivaut à un mur de plus de 14 mètres dépaisseur ! Pour obtenir une meilleure réception, placez les appareils de sorte que le signal passe directement à travers le mur ou le plafond (au lieu de lincliner).
- Les matériaux de construction font une différence. Une porte pleine en métal ou des tiges en aluminium peuvent avoir des conséquences négatives sur la portée. Essayez de placer les points daccès, les points d'accès sans fil et les ordinateurs de sorte que le signal passe par une cloison sèche ou des portes ouvertes. Certains matériaux et objets, comme le verre, lacier, le métal, les parois isolées, leau (aquariums), les miroirs, les classeurs, les briques et le béton, peuvent dégrader le signal du réseau sans fil.
- Maintenez votre produit à lécart (au moins 1 à 2 mètres) de dispositifs électriques ou dappareils générant un bruit RF.
- Lutilisation de téléphones sans fil de 2,4 GHz ou de X-10 (produits sans fil, comme des ventilateurs plafonniers, des lampes et des systèmes de sécurité à domicile) risque de dégrader fortement votre connexion sans fil ou de la couper complètement. Vérifiez que la base de votre téléphone de 2,4 GHz soit le plus loin possible de vos périphériques sans fil. La base transmet un signal, même si le téléphone nest pas utilisé.